"C'est pourquoi on distingue un homme d'un autre homme", a déclaré Laurent Gbagbo lors du Comité Central du PPA-CI ce 4 janvier 2025. L'ancien président ivoirien a livré un discours mêlant histoire personnelle et enjeux actuels.
Dans cette intervention, le président du PPA-CI a rappelé des moments clés de l'histoire politique ivoirienne, tout en traçant les perspectives pour 2025. "En 1995, je n'ai pas déposé de candidature. Bien que tout mon dossier soit prêt", a-t-il rappelé.
Dans cette intervention, le président du PPA-CI a rappelé des moments clés de l'histoire politique ivoirienne, tout en traçant les perspectives pour 2025. "En 1995, je n'ai pas déposé de candidature. Bien que tout mon dossier soit prêt", a-t-il rappelé.
Retour sur le passé
Laurent Gbagbo a évoqué son parcours politique : "J'ai été élu le 22 octobre, j'ai prêté serment le 26 octobre, nous avons fait le premier conseil des ministres le 27 octobre." Un rappel chronologique précis des événements.
"La guerre qu'ils ont amenée [...] je n'avais même pas fini de former les administrations", a-t-il souligné, revenant sur les défis auxquels il a fait face pendant son mandat.
Le leader du PPA-CI identifie deux défis majeurs : "Il y a une lutte dans l'autre. La première lutte, c'est mon inscription sur la liste [...] et il y a la victoire à l'élection elle-même."
Sur la question internationale, Laurent Gbagbo adopte une position claire : "Nous comptons sur nous-mêmes pour avancer [...] celui qui veut t'aider, s'il vient volontairement, il est plus fort."
"La guerre qu'ils ont amenée [...] je n'avais même pas fini de former les administrations", a-t-il souligné, revenant sur les défis auxquels il a fait face pendant son mandat.
Le leader du PPA-CI identifie deux défis majeurs : "Il y a une lutte dans l'autre. La première lutte, c'est mon inscription sur la liste [...] et il y a la victoire à l'élection elle-même."
Sur la question internationale, Laurent Gbagbo adopte une position claire : "Nous comptons sur nous-mêmes pour avancer [...] celui qui veut t'aider, s'il vient volontairement, il est plus fort."
Vision pour l'avenir
"Il faut que la politique de la Côte d'Ivoire change de fond en comble", a insisté l'ancien président, face à ce qu'il décrit comme une situation de "ruine et désolation."
"Nous ne sommes pas des silencieux [...] mais on ne veut pas parler au hasard", a-t-il conclu, annonçant des débats à venir : "La campagne va venir, on va parler [...] je vais leur dire ce que j'ai fait."
"Nous ne sommes pas des silencieux [...] mais on ne veut pas parler au hasard", a-t-il conclu, annonçant des débats à venir : "La campagne va venir, on va parler [...] je vais leur dire ce que j'ai fait."