Grève enseignants en Côte d'Ivoire © Crédit photo DR
Grève enseignants en Côte d'Ivoire : Les examens nationaux en Côte d'Ivoire font l'objet d'une protection particulière de la part de l'ADDRENCI. L'Association des directeurs régionaux de l'éducation nationale et de l'alphabétisation a pris position contre le préavis de grève déposé par l'Intersyndicale du ministère de l'Éducation nationale (IS-MENA), prévu pour les 3 et 4 avril 2025.
Cette réaction s'explique notamment par le calendrier du mouvement social, qui coïncide avec le début des examens à grand tirage et l'évaluation internationale PASEC 2024. L'ADDRENCI considère que ce timing représente une menace directe pour le bon déroulement des évaluations nationales déjà entamées avec les épreuves physiques et sportives du BEPC et du Baccalauréat.
Cette réaction s'explique notamment par le calendrier du mouvement social, qui coïncide avec le début des examens à grand tirage et l'évaluation internationale PASEC 2024. L'ADDRENCI considère que ce timing représente une menace directe pour le bon déroulement des évaluations nationales déjà entamées avec les épreuves physiques et sportives du BEPC et du Baccalauréat.
Protection du calendrier des examens
La préservation du calendrier des examens constitue la priorité absolue exprimée par l'ADDRENCI. Dans sa déclaration, l'association souligne l'importance de "maintenir le déroulement effectif dans les centres d'examen, les épreuves physiques et sportives du BEPC et du Baccalauréat".
Cette préoccupation s'étend également à l'évaluation internationale PASEC 2024, pour laquelle l'association demande à "tout mettre en œuvre pour que l'évaluation se déroule conformément au calendrier arrêté dans les écoles retenues".
La position de l'ADDRENCI reflète une volonté de protéger les élèves en cette période charnière. Les directeurs régionaux appellent les enseignants à garantir "le droit à l'éducation" des élèves, particulièrement dans ce contexte d'évaluations nationales et internationales.
Cette préoccupation s'étend également à l'évaluation internationale PASEC 2024, pour laquelle l'association demande à "tout mettre en œuvre pour que l'évaluation se déroule conformément au calendrier arrêté dans les écoles retenues".
La position de l'ADDRENCI reflète une volonté de protéger les élèves en cette période charnière. Les directeurs régionaux appellent les enseignants à garantir "le droit à l'éducation" des élèves, particulièrement dans ce contexte d'évaluations nationales et internationales.
Stratégie de mobilisation déployée
Pour contrer les effets potentiels de cette grève sur les examens, l'ADDRENCI déploie une stratégie de mobilisation à plusieurs niveaux. L'association sollicite activement les Inspecteurs de l'enseignement préscolaire et primaire (IEPP) pour qu'ils intensifient leur présence sur le terrain.
Ces inspecteurs sont chargés de "mobiliser tous les Conseillers pédagogiques, les directeurs d'école et les enseignants" afin d'assurer une continuité pédagogique pendant la période visée par le préavis de grève.
Par ailleurs, l'ADDRENCI demande à ses membres d'établir des contacts urgents avec "toutes les parties prenantes de leurs régions respectives" pour maintenir les écoles ouvertes et mettre fin aux "velléités des perturbations des cours" visées par ce mouvement social.
Cette mobilisation générale s'accompagne d'un soutien explicite aux actions ministérielles. L'association affirme que la ministre Mariatou Koné met en œuvre "brillamment" les recommandations des États généraux de l'éducation nationale, avec "des résultats visibles sur le terrain".
L'ADDRENCI conclut par un rappel à l'ordre, invitant les enseignants tentés par ce mouvement de grève à "savoir raison garder" sous peine de s'exposer "à la rigueur de la loi". Cette fermeté témoigne de la détermination des directeurs régionaux à préserver le calendrier des examens, considéré comme une priorité éducative nationale.
Dans un système éducatif régulièrement confronté à des mouvements sociaux, cette prise de position de l'ADDRENCI reflète une volonté de stabiliser le parcours scolaire des élèves, particulièrement lors des périodes d'évaluation.
Ces inspecteurs sont chargés de "mobiliser tous les Conseillers pédagogiques, les directeurs d'école et les enseignants" afin d'assurer une continuité pédagogique pendant la période visée par le préavis de grève.
Par ailleurs, l'ADDRENCI demande à ses membres d'établir des contacts urgents avec "toutes les parties prenantes de leurs régions respectives" pour maintenir les écoles ouvertes et mettre fin aux "velléités des perturbations des cours" visées par ce mouvement social.
Cette mobilisation générale s'accompagne d'un soutien explicite aux actions ministérielles. L'association affirme que la ministre Mariatou Koné met en œuvre "brillamment" les recommandations des États généraux de l'éducation nationale, avec "des résultats visibles sur le terrain".
L'ADDRENCI conclut par un rappel à l'ordre, invitant les enseignants tentés par ce mouvement de grève à "savoir raison garder" sous peine de s'exposer "à la rigueur de la loi". Cette fermeté témoigne de la détermination des directeurs régionaux à préserver le calendrier des examens, considéré comme une priorité éducative nationale.
Dans un système éducatif régulièrement confronté à des mouvements sociaux, cette prise de position de l'ADDRENCI reflète une volonté de stabiliser le parcours scolaire des élèves, particulièrement lors des périodes d'évaluation.
