Les décès par rage en Côte d'Ivoire s'élèvent à 35 depuis le début de l'année 2024. Ce chiffre a été annoncé lors de la Journée mondiale de lutte contre la rage, célébrée à Bouna le 28 septembre. L'événement a mis en lumière l'ampleur du problème dans le pays et les efforts déployés pour y faire face.
Les statistiques présentées lors de la journée révèlent que les enfants sont les principales victimes de la rage. Plus de la moitié des décès concernent des personnes de moins de 15 ans. Cette réalité souligne l'importance de cibler les actions de prévention vers cette tranche d'âge vulnérable.
Selon les autorités sanitaires, environ 14 000 personnes sont exposées à la rage chaque année en Côte d'Ivoire. Dr Kallo Vessaly, directeur des services vétérinaires, a rappelé que cette maladie est invariablement mortelle une fois les symptômes apparus, tant pour les humains que pour les animaux.
Les statistiques présentées lors de la journée révèlent que les enfants sont les principales victimes de la rage. Plus de la moitié des décès concernent des personnes de moins de 15 ans. Cette réalité souligne l'importance de cibler les actions de prévention vers cette tranche d'âge vulnérable.
Selon les autorités sanitaires, environ 14 000 personnes sont exposées à la rage chaque année en Côte d'Ivoire. Dr Kallo Vessaly, directeur des services vétérinaires, a rappelé que cette maladie est invariablement mortelle une fois les symptômes apparus, tant pour les humains que pour les animaux.
Stratégies de lutte
Pour combattre ce fléau, le gouvernement ivoirien et ses partenaires internationaux ont mis en place plusieurs initiatives. Une campagne de vaccination gratuite des animaux domestiques a été lancée lors de la Journée mondiale et se poursuivra jusqu'au 5 octobre 2024 dans la région du Bounkani.
La FAO, représentée par le Dr Kanga Kouamé, a réaffirmé son soutien au gouvernement dans cette lutte. L'organisation apporte son aide à travers des formations, la fourniture d'équipements et de vaccins pour renforcer les capacités de prévention et de détection précoce du pays.
La sensibilisation joue également un rôle crucial. Des actions de communication ont été menées, incluant des projections de films, des formations pour les leaders communautaires et les enseignants, ainsi que des sketches de sensibilisation lors de la journée mondiale.
La FAO, représentée par le Dr Kanga Kouamé, a réaffirmé son soutien au gouvernement dans cette lutte. L'organisation apporte son aide à travers des formations, la fourniture d'équipements et de vaccins pour renforcer les capacités de prévention et de détection précoce du pays.
La sensibilisation joue également un rôle crucial. Des actions de communication ont été menées, incluant des projections de films, des formations pour les leaders communautaires et les enseignants, ainsi que des sketches de sensibilisation lors de la journée mondiale.