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Variole du singe en Côte d'Ivoire : Nouveau cas dans le Tonkpi

Jeudi 5 Septembre 2024

En Côte d'Ivoire, la région du Tonkpi fait face à un deuxième cas de variole du singe. Les autorités sanitaires confirment un nouveau patient à Zouan-Hounien, après Danané.


Variole du singe en Côte d'Ivoire © Crédit photo DR
Variole du singe en Côte d'Ivoire © Crédit photo DR
En Côte d'Ivoire, la région du Tonkpi enregistre un deuxième cas de variole du singe. L'annonce a été faite le 4 septembre 2024 par le Dr Koffi Jean Noël, consultant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), lors d'une réunion à la préfecture de Man.

Le patient est un enfant du district sanitaire de Zouan-Hounien. Ce cas s'ajoute à celui précédemment détecté à Danané, accentuant l'alerte sanitaire dans la région.

L'OMS travaille en étroite collaboration avec les autorités locales. Des mesures de prévention et de contrôle sont déployées dans la région du Tonkpi pour limiter la propagation de la maladie.

Recommandations à la population

Les autorités sanitaires appellent la population à la vigilance. Elles insistent sur le respect des consignes de prévention pour freiner la diffusion de la variole du singe.

Cette situation souligne l'importance d'un système de surveillance épidémiologique efficace. La détection rapide des cas permet une réponse plus adaptée des autorités sanitaires.

La variole du singe se transmet par contact étroit et peut causer des symptômes inconfortables. Les autorités rappellent l'importance des gestes barrières et de l'hygiène pour prévenir la contamination.

La région du Tonkpi, incluant Man, Danané, et Zouan-Hounien, fait l'objet d'une surveillance accrue. Les équipes médicales sont prêtes à identifier et isoler rapidement les cas suspects.

Vigilance

L'OMS et les autorités ivoiriennes unissent leurs efforts pour renforcer les capacités locales. Des formations sont organisées pour le personnel de santé afin d'améliorer la détection et la prise en charge des cas.

La population est invitée à consulter rapidement en cas de symptômes suspects. Une détection précoce facilite le traitement et réduit les risques de transmission.

Les autorités sanitaires assurent que la situation est sous contrôle. Elles continuent de suivre de près l'évolution de la maladie dans la région et adaptent leur réponse en conséquence.

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