Des échanges de tirs ont éclaté mercredi soir dans le quartier présidentiel de N'Djamena © Crédit photo DR
Des tirs nourris ont retenti ce mercredi à 19h45 dans le quartier présidentiel de N'Djamena, capitale du Tchad. Les habitants ont rapporté des échanges à l'arme légère et des tirs d'artillerie aux abords du palais Toumaye, siège de la présidence tchadienne.
Le ministre des Affaires étrangères, Abderamane Koulamallah, s'est rapidement exprimé depuis l'intérieur du palais présidentiel pour rassurer la population. "La situation est totalement maîtrisée. Il n'y a aucune crainte", a-t-il déclaré dans une vidéo diffusée sur Facebook.
Le ministre des Affaires étrangères, Abderamane Koulamallah, s'est rapidement exprimé depuis l'intérieur du palais présidentiel pour rassurer la population. "La situation est totalement maîtrisée. Il n'y a aucune crainte", a-t-il déclaré dans une vidéo diffusée sur Facebook.
Situation sous contrôle
Les autorités tchadiennes maintiennent une communication mesurée face à ces événements. Le ministre des Infrastructures, Aziz Mahamat Saleh, confirme que "la situation est sous contrôle" sans toutefois préciser l'identité des protagonistes impliqués dans les affrontements.
Le porte-parole du gouvernement évoque une "tentative de déstabilisation" tout en indiquant qu'une enquête est en cours. "Nous attendons l'arrivée du procureur de la République pour vous montrer la réalité de ce qui s'est passé", a-t-il précisé.
Les combats de rue se sont déroulés principalement sur l'avenue longeant le palais présidentiel. L'absence d'information sur la présence ou non du président Déby sur les lieux au moment des faits ajoute à l'incertitude de la situation.
Le ministre Koulamallah a promis des clarifications dans la soirée: "C'est un petit incident qui s'est passé et je viendrai longuement tout au long de la soirée pour dire ce qui s'est passé", a-t-il assuré, portant un pistolet à la ceinture lors de sa déclaration.
Le porte-parole du gouvernement évoque une "tentative de déstabilisation" tout en indiquant qu'une enquête est en cours. "Nous attendons l'arrivée du procureur de la République pour vous montrer la réalité de ce qui s'est passé", a-t-il précisé.
Les combats de rue se sont déroulés principalement sur l'avenue longeant le palais présidentiel. L'absence d'information sur la présence ou non du président Déby sur les lieux au moment des faits ajoute à l'incertitude de la situation.
Le ministre Koulamallah a promis des clarifications dans la soirée: "C'est un petit incident qui s'est passé et je viendrai longuement tout au long de la soirée pour dire ce qui s'est passé", a-t-il assuré, portant un pistolet à la ceinture lors de sa déclaration.