Nadiany Gbagbo a dévoilé le 15 décembre 2024 une conversation significative qu'elle a eue avec Laurent Gbagbo lors de leur première rencontre à La Haye. "Quand nous nous sommes battus et que nous avons obtenu le multipartisme, les gens ont pensé qu'on avait obtenu la démocratie. Non, le multipartisme n'est pas la démocratie", lui avait-il confié.
Cette distinction fondamentale entre multipartisme et démocratie constitue, selon les propos rapportés, le cœur du combat politique actuel.
Cette distinction fondamentale entre multipartisme et démocratie constitue, selon les propos rapportés, le cœur du combat politique actuel.
Une vision politique structurée
"Nous avons gagné la première partie de notre combat qui était d'obtenir le multipartisme. Maintenant, nous sommes à la deuxième étape de notre combat : obtenir la démocratie pour la Côte d'Ivoire", a rapporté Nadiany Gbagbo, citant son époux.
Elle a précisé la différence entre ces concepts : "Le multipartisme est un système qui autorise l'existence de plusieurs partis politiques", tandis que la démocratie s'oppose à la dictature, définie comme "un régime politique qui se caractérise par une forme de pouvoir arbitraire".
"Être en prison était le prolongement de mon combat. Le combat pour la démocratie", aurait déclaré Laurent Gbagbo selon son épouse. Cette vision explique sa candidature pour 2025, présentée comme la continuité d'un engagement historique.
"Il est candidat pour fixer les clous ! Afin que plus jamais la souveraineté du peuple ne soit bafouée", a souligné Nadiany Gbagbo, avant d'annoncer les prochaines assises des femmes comme une étape importante dans ce processus démocratique.
Elle a précisé la différence entre ces concepts : "Le multipartisme est un système qui autorise l'existence de plusieurs partis politiques", tandis que la démocratie s'oppose à la dictature, définie comme "un régime politique qui se caractérise par une forme de pouvoir arbitraire".
"Être en prison était le prolongement de mon combat. Le combat pour la démocratie", aurait déclaré Laurent Gbagbo selon son épouse. Cette vision explique sa candidature pour 2025, présentée comme la continuité d'un engagement historique.
"Il est candidat pour fixer les clous ! Afin que plus jamais la souveraineté du peuple ne soit bafouée", a souligné Nadiany Gbagbo, avant d'annoncer les prochaines assises des femmes comme une étape importante dans ce processus démocratique.