FESCI suspendue : le gouvernement ivoirien a pris une décision radicale suite à l'assassinat "Général Sorcier". Le Secrétaire Général de la section-FESCI de la cité universitaire d'Abobo a été enlevé et tué dans la nuit du 29 au 30 septembre 2024.
Le ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique a annoncé : "À titre conservatoire, le Gouvernement décide de suspendre toutes les activités syndicales estudiantines au sein des Universités Publiques et Privées de Côte d'Ivoire." Cette déclaration souligne la gravité de la situation et la volonté des autorités de prévenir d'autres incidents.
Les autorités ont également présenté leurs condoléances à la famille du défunt et à la communauté universitaire. Elles ont annoncé l'ouverture d'une enquête par la Police Nationale pour élucider les circonstances de ce meurtre.
Le ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique a annoncé : "À titre conservatoire, le Gouvernement décide de suspendre toutes les activités syndicales estudiantines au sein des Universités Publiques et Privées de Côte d'Ivoire." Cette déclaration souligne la gravité de la situation et la volonté des autorités de prévenir d'autres incidents.
Les autorités ont également présenté leurs condoléances à la famille du défunt et à la communauté universitaire. Elles ont annoncé l'ouverture d'une enquête par la Police Nationale pour élucider les circonstances de ce meurtre.
Implications de la suspension
La suspension de la FESCI a des implications importantes pour le milieu universitaire ivoirien. Cette décision vise à restaurer un climat de sécurité sur les campus et à faciliter le déroulement de l'enquête en cours.
Le gouvernement a justifié cette mesure en déclarant : "Cet acte de barbarie d'un autre âge met à mal le climat de paix et de sérénité qui prévaut dans l'enseignement supérieur depuis plus d'une décennie." Cette déclaration souligne la volonté des autorités de préserver la stabilité du secteur éducatif.
Le gouvernement a justifié cette mesure en déclarant : "Cet acte de barbarie d'un autre âge met à mal le climat de paix et de sérénité qui prévaut dans l'enseignement supérieur depuis plus d'une décennie." Cette déclaration souligne la volonté des autorités de préserver la stabilité du secteur éducatif.