FESCI : les anciens SG réagissent au meurtre d'Agui et l'arrestation de Kambou Sié © Crédit photo DR
La crise universitaire Côte d'Ivoire atteint un nouveau palier avec le meurtre de l'étudiant Aubin Agui Mars Deagoué à Abidjan. L'Union des anciens de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (UNAFESCI) réagit à cette situation par une déclaration officielle. Le Dr Martial Ahipeaud, président de l'organisation, condamne fermement cet acte de violence et appelle à la retenue.
L'UNAFESCI exprime sa préoccupation face à l'escalade de la violence dans le milieu universitaire. Elle demande que toute la lumière soit faite sur le meurtre de l'étudiant et sur l'arrestation de Sié Kambou, secrétaire général de la FESCI. Le Dr Ahipeaud rappelle les avertissements précédents de Kambou concernant "la situation d'ingérence et la volonté de contrôle par de mains obscures extérieures du mouvement qu'il dirige".
L'UNAFESCI exprime sa préoccupation face à l'escalade de la violence dans le milieu universitaire. Elle demande que toute la lumière soit faite sur le meurtre de l'étudiant et sur l'arrestation de Sié Kambou, secrétaire général de la FESCI. Le Dr Ahipeaud rappelle les avertissements précédents de Kambou concernant "la situation d'ingérence et la volonté de contrôle par de mains obscures extérieures du mouvement qu'il dirige".
Un appel à la stabilité
L'UNAFESCI souligne l'importance de préserver la stabilité du milieu universitaire. Elle demande à toutes les parties de s'abstenir d'actions pouvant entraver l'enquête en cours. Le Dr Ahipeaud déclare : "En intervenant en décembre dernier pour aider à l'organisation du congrès, notre objectif était clairement connu, celui d'éviter l'escalade de la violence".
L'organisation rappelle son rôle historique dans la promotion du dialogue et de la non-violence. Elle cite ses contributions passées pour faciliter les transitions pacifiques entre les différents secrétaires généraux de la FESCI, "évitant ainsi le spectre des congrès violents et sanglants".
Les conséquences de la crise
L'UNAFESCI exprime sa préoccupation face aux répercussions de cette crise sur la communauté étudiante. Le Dr Ahipeaud souligne : "Des étudiants déguerpis des cités de Cocody, errent dans les rues d'Abidjan, ne sachant pas où déposer leur baluchon". Il fait référence à la décision du ministère de l'Enseignement supérieur de déguerpir les étudiants installés illégalement dans les cités universitaires.
Face à cette situation, l'UNAFESCI réaffirme sa volonté de contribuer à la résolution pacifique de la crise. Le Dr Ahipeaud conclut en exprimant le souhait de voir la situation résolue rapidement par la justice, permettant ainsi le rétablissement de l'ordre et le retour à la normalité dans le milieu universitaire ivoirien.
Face à cette situation, l'UNAFESCI réaffirme sa volonté de contribuer à la résolution pacifique de la crise. Le Dr Ahipeaud conclut en exprimant le souhait de voir la situation résolue rapidement par la justice, permettant ainsi le rétablissement de l'ordre et le retour à la normalité dans le milieu universitaire ivoirien.