L'entretien routier en Côte d'Ivoire bénéficie d'un budget annuel de 280 milliards de FCFA. Le Dr Amédé Koffi Kouakou, ministre de l'Équipement et de l'Entretien routier, a communiqué cette information lors d'une session "Gouv'Talk" le 17 octobre 2024 à Abidjan-Plateau.
Le ministre a expliqué que ces fonds sont destinés à rendre praticables les routes ivoiriennes. L'État vise à faciliter le déplacement des biens et des personnes, l'évacuation des produits agricoles et à contribuer à la baisse des coûts des transports.
Dr Kouakou a indiqué que de nombreux travaux routiers sont en cours dans l'ensemble du pays. Ces chantiers ont pour but d'améliorer les conditions de déplacement des populations.
Le ministre a expliqué que ces fonds sont destinés à rendre praticables les routes ivoiriennes. L'État vise à faciliter le déplacement des biens et des personnes, l'évacuation des produits agricoles et à contribuer à la baisse des coûts des transports.
Dr Kouakou a indiqué que de nombreux travaux routiers sont en cours dans l'ensemble du pays. Ces chantiers ont pour but d'améliorer les conditions de déplacement des populations.
Étendue du réseau routier
Le ministre a présenté l'étendue du réseau routier ivoirien. La Côte d'Ivoire compte 82 000 km de routes classées, dont 8100 km sont bitumées. Le pays dispose également de 200 000 km de routes non classées.
Ces chiffres illustrent l'ampleur de la tâche que représente l'entretien routier en Côte d'Ivoire.
Dr Kouakou a profité de cette tribune pour sensibiliser la population. Il a invité les Ivoiriens à contribuer à la préservation des routes, les qualifiant de "bien public, un bien de tous".
Cette responsabilisation des usagers s'inscrit dans une démarche de pérennisation des investissements réalisés par l'État dans le réseau routier.
Ces chiffres illustrent l'ampleur de la tâche que représente l'entretien routier en Côte d'Ivoire.
Dr Kouakou a profité de cette tribune pour sensibiliser la population. Il a invité les Ivoiriens à contribuer à la préservation des routes, les qualifiant de "bien public, un bien de tous".
Cette responsabilisation des usagers s'inscrit dans une démarche de pérennisation des investissements réalisés par l'État dans le réseau routier.