Grève enseignants Côte d'Ivoire © Crédit photo DR
Un préavis pour une grève des enseignants en Côte d'Ivoire a été annoncé le 14 septembre 2024. Cette décision a été prise lors d'une assemblée générale extraordinaire de la Centrale Professionnelle de l'Enseignement de Côte d'Ivoire (CEPENSCI-DIGNITE) à Abidjan.
Les syndicats du secteur éducation-formation affiliés à la centrale syndicale Dignité réclament l'octroi d'une prime trimestrielle et des indemnités. Ces avantages sont attendus pour l'année scolaire 2024-2025. David Bli Blé, président de la CEPENSCI-DIGNITE, a expliqué : "Nous avions décidé de prendre notre destin en main. Nous avons donc pris ce pari pour laisser la chance aux discussions."
Les syndicats du secteur éducation-formation affiliés à la centrale syndicale Dignité réclament l'octroi d'une prime trimestrielle et des indemnités. Ces avantages sont attendus pour l'année scolaire 2024-2025. David Bli Blé, président de la CEPENSCI-DIGNITE, a expliqué : "Nous avions décidé de prendre notre destin en main. Nous avons donc pris ce pari pour laisser la chance aux discussions."
Délai et action prévue
Un délai d'un mois a été accordé au gouvernement pour répondre aux revendications. En l'absence d'accord, un arrêt de travail est prévu du 15 au 17 octobre 2024. Les enseignants du ministère de l'Éducation nationale et de l'Alphabétisation (MENA) attendent cette prime depuis 2017, année de la signature de la première trêve sociale.
Bli Blé a souligné l'urgence de la situation : "Les enseignants de Côte d'Ivoire ont décidé de mener la lutte. Plus tard, il sera trop tard, nos primes, c'est maintenant." Il a cependant exprimé son espoir de trouver une solution, rappelant l'ouverture au dialogue des syndicats.
La CEPENSCI-DIGNITE, qui regroupe 15 syndicats du secteur éducation-formation, reste ouverte aux négociations avec le gouvernement pour éviter la grève.
Bli Blé a souligné l'urgence de la situation : "Les enseignants de Côte d'Ivoire ont décidé de mener la lutte. Plus tard, il sera trop tard, nos primes, c'est maintenant." Il a cependant exprimé son espoir de trouver une solution, rappelant l'ouverture au dialogue des syndicats.
La CEPENSCI-DIGNITE, qui regroupe 15 syndicats du secteur éducation-formation, reste ouverte aux négociations avec le gouvernement pour éviter la grève.
