L'Université Côte d'Ivoire voit ses associations syndicales estudiantines interdites d'activité par un arrêté interministériel. Cette décision, prise le 2 octobre 2024, s'applique à l'ensemble du territoire national et concerne toutes les organisations syndicales représentant les étudiants et les élèves.
L'arrêté, signé par cinq ministres du gouvernement ivoirien, stipule dans son article premier : "Sont interdites sur l'ensemble du territoire national et à titre conservatoire, les activités des associations syndicales estudiantines et scolaires." Cette mesure affecte directement la vie associative et la représentation des étudiants dans les universités et écoles de Côte d'Ivoire.
L'arrêté, signé par cinq ministres du gouvernement ivoirien, stipule dans son article premier : "Sont interdites sur l'ensemble du territoire national et à titre conservatoire, les activités des associations syndicales estudiantines et scolaires." Cette mesure affecte directement la vie associative et la représentation des étudiants dans les universités et écoles de Côte d'Ivoire.
Motifs et portée de la décision
La justification officielle de cette interdiction repose sur "la nécessité du maintien de l'ordre et de la tranquillité publique en milieu Universitaire et Scolaire", selon les termes de l'arrêté. Cette formulation indique que les autorités ont estimé que les activités de ces associations pouvaient potentiellement perturber le fonctionnement normal des établissements d'enseignement.
L'arrêté porte les signatures de plusieurs membres clés du gouvernement ivoirien. Téné Birahima OUATTARA, en sa qualité de Ministre d'État, Ministre de la Défense, a validé ce document. Le Général DIOMANDE Vagorido, Ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, a également apposé sa signature. Adama DIAWARA, responsable de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, ainsi que N'Guessan KOFFI, en charge de l'Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et de l'Apprentissage, ont complété la liste des signataires. N'Guessan KOFFI a également signé par intérim pour le Ministre de l'Education Nationale et de l'Alphabétisation.
L'arrêté porte les signatures de plusieurs membres clés du gouvernement ivoirien. Téné Birahima OUATTARA, en sa qualité de Ministre d'État, Ministre de la Défense, a validé ce document. Le Général DIOMANDE Vagorido, Ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, a également apposé sa signature. Adama DIAWARA, responsable de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, ainsi que N'Guessan KOFFI, en charge de l'Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et de l'Apprentissage, ont complété la liste des signataires. N'Guessan KOFFI a également signé par intérim pour le Ministre de l'Education Nationale et de l'Alphabétisation.
Application et implications
La mise en œuvre de cette décision est confiée aux directeurs de cabinet des ministères concernés, comme le précise l'article 2 de l'arrêté. Ces hauts fonctionnaires seront chargés d'assurer l'application effective de l'interdiction dans leurs domaines de compétence respectifs. Ils devront veiller à ce que les associations syndicales estudiantines et scolaires cessent leurs activités sur l'ensemble du territoire ivoirien.
L'arrêté mentionne que cette mesure est prise "à titre conservatoire", ce qui laisse entendre qu'elle pourrait être temporaire. Cependant, aucune date de fin ou de réévaluation n'est spécifiée dans le document. Cette absence de précision soulève des interrogations quant à la durée de cette interdiction et aux conditions de sa levée éventuelle.
L'arrêté mentionne que cette mesure est prise "à titre conservatoire", ce qui laisse entendre qu'elle pourrait être temporaire. Cependant, aucune date de fin ou de réévaluation n'est spécifiée dans le document. Cette absence de précision soulève des interrogations quant à la durée de cette interdiction et aux conditions de sa levée éventuelle.