Le gouvernement ivoirien a adopté le 19 décembre 2024 un décret déclarant d'utilité publique un site de 15 hectares à N'Dotré, dans la commune d'Abobo. Cette décision, prise en Conseil des ministres au Palais présidentiel, vise la construction d'une casse moderne.
Le ministre de la Communication, Amadou Coulibaly, précise que ce projet permettra "d'offrir des infrastructures modernes aux opérateurs du secteur". Le site identifié est transféré au domaine de l'État.
Le ministre de la Communication, Amadou Coulibaly, précise que ce projet permettra "d'offrir des infrastructures modernes aux opérateurs du secteur". Le site identifié est transféré au domaine de l'État.
Assainissement des voies publiques
Le projet répond à un double objectif d'organisation et d'assainissement. Selon le porte-parole du gouvernement, il s'agit "d'assainir les voies publiques et autres dépendances du domaine public du District Autonome d'Abidjan".
Cette initiative vise également à "mettre fin à l'itinérance et à l'installation anarchique des ferrailleurs" dans la capitale économique ivoirienne.
Le gouvernement prévoit des indemnisations pour les personnes concernées. "Les détenteurs de droits coutumiers, de titres définitifs de propriété sur les emprises du projet, les locataires ou leurs ayants droit percevront une indemnisation", indique Amadou Coulibaly.
Des restrictions sont désormais en vigueur sur le site. Le ministre précise que "toute transaction, toute construction nouvelle, même précaire, tous types de travaux de nature à modifier l'état du sol, portant sur ce site, sont interdits".
Cette initiative vise également à "mettre fin à l'itinérance et à l'installation anarchique des ferrailleurs" dans la capitale économique ivoirienne.
Le gouvernement prévoit des indemnisations pour les personnes concernées. "Les détenteurs de droits coutumiers, de titres définitifs de propriété sur les emprises du projet, les locataires ou leurs ayants droit percevront une indemnisation", indique Amadou Coulibaly.
Des restrictions sont désormais en vigueur sur le site. Le ministre précise que "toute transaction, toute construction nouvelle, même précaire, tous types de travaux de nature à modifier l'état du sol, portant sur ce site, sont interdits".