Le 21 septembre 2024 à Bonoua, Simone Gbagbo, la présidente du Mouvement des Générations Capables (MGC) a pris la parole lors d'une rencontre réunissant 14 partis politiques d'opposition.
L'ancienne Première dame a abordé l'absence des organisations de la société civile. Elle a expliqué : "Aujourd'hui, nous nous trouvons devant vous sans les Organisations de la Société Civile en raison de l'ordonnance N°2024-368 du 12 juin 2024 relative à l'organisation de la Société Civile." Cette ordonnance est perçue comme une entrave à la liberté d'expression de la société civile.
Simone Gbagbo a critiqué le système électoral actuel. Elle a déclaré : "Depuis 2000, le système électoral en Côte d'Ivoire est source de conflits. Ce système, malheureusement maintenu vaille que vaille par l'actuel gouvernement, ne peut aucunement garantir la paix dans notre pays."
L'ancienne Première dame a abordé l'absence des organisations de la société civile. Elle a expliqué : "Aujourd'hui, nous nous trouvons devant vous sans les Organisations de la Société Civile en raison de l'ordonnance N°2024-368 du 12 juin 2024 relative à l'organisation de la Société Civile." Cette ordonnance est perçue comme une entrave à la liberté d'expression de la société civile.
Simone Gbagbo a critiqué le système électoral actuel. Elle a déclaré : "Depuis 2000, le système électoral en Côte d'Ivoire est source de conflits. Ce système, malheureusement maintenu vaille que vaille par l'actuel gouvernement, ne peut aucunement garantir la paix dans notre pays."
Les réformes demandées par l'opposition
L'opposition a identifié huit domaines nécessitant des réformes. Ces points incluent la révision de la liste électorale, la réforme de la Commission Électorale Indépendante (CEI), la révision du découpage électoral, et la sécurisation du processus électoral.
Simone Gbagbo a lancé un appel au gouvernement. Elle a affirmé : "Le gouvernement est donc appelé à engager avec courage, un vrai dialogue inclusif avec les partis politiques, les Organisations de la Société Civile et l'ensemble des forces vives de la Nation."
La présidente du MGC a souligné l'engagement de l'opposition. Elle a déclaré : "Pour notre part, Groupement des partis politiques signataires de la déclaration de ce 21 septembre 2024, nous nous engageons à poursuivre notre collaboration pour la préparation d'un Mémorandum commun et consensuel sur les réformes électorales."
Simone Gbagbo a lancé un appel au gouvernement. Elle a affirmé : "Le gouvernement est donc appelé à engager avec courage, un vrai dialogue inclusif avec les partis politiques, les Organisations de la Société Civile et l'ensemble des forces vives de la Nation."
La présidente du MGC a souligné l'engagement de l'opposition. Elle a déclaré : "Pour notre part, Groupement des partis politiques signataires de la déclaration de ce 21 septembre 2024, nous nous engageons à poursuivre notre collaboration pour la préparation d'un Mémorandum commun et consensuel sur les réformes électorales."
Une opposition en quête d'unité
La rencontre de Bonoua a mis en lumière certaines divisions au sein de l'opposition. Le Parti des Peuples Africains - Côte d'Ivoire (PPA-CI) et Générations et Peuples Solidaires (GPS) n'ont pas participé. Le Front Populaire Ivoirien (FPI) était présent mais n'a pas signé la déclaration en raison de tensions internes.
Malgré ces absences, Simone Gbagbo et les autres signataires affirment leur détermination. Ils souhaitent présenter un front uni pour négocier des réformes électorales avec le gouvernement avant les élections de 2025.
La déclaration de Bonoua marque une étape importante dans la préparation de l'opposition pour les élections de 2025. Simone Gbagbo, par son rôle de porte-parole, s'affirme comme une figure centrale de cette opposition en quête d'unité et de réformes.
Malgré ces absences, Simone Gbagbo et les autres signataires affirment leur détermination. Ils souhaitent présenter un front uni pour négocier des réformes électorales avec le gouvernement avant les élections de 2025.
La déclaration de Bonoua marque une étape importante dans la préparation de l'opposition pour les élections de 2025. Simone Gbagbo, par son rôle de porte-parole, s'affirme comme une figure centrale de cette opposition en quête d'unité et de réformes.