La fonction publique ivoirienne traverse une période de contestation sociale. Trois ministères programment des arrêts de travail entre octobre et novembre 2024, révélant un malaise grandissant dans l'administration.
Le ministère de l'Éducation nationale ouvre la séquence à la mi-octobre 2024. Les fonctionnaires du ministère de l'Intérieur et de la Sécurité suivent du 12 au 14 novembre. Le personnel du ministère de la Culture et de la Francophonie annonce une grève du 20 au 22 novembre.
"Les employés de la fonction publique sont en droit de revendiquer des primes eu égard au coût non maîtrisé de la vie dans notre pays", affirme le GPS dans son communiqué du 12 novembre 2024. Le parti demande la fin des sanctions contre les grévistes.
Le ministère de l'Éducation nationale ouvre la séquence à la mi-octobre 2024. Les fonctionnaires du ministère de l'Intérieur et de la Sécurité suivent du 12 au 14 novembre. Le personnel du ministère de la Culture et de la Francophonie annonce une grève du 20 au 22 novembre.
"Les employés de la fonction publique sont en droit de revendiquer des primes eu égard au coût non maîtrisé de la vie dans notre pays", affirme le GPS dans son communiqué du 12 novembre 2024. Le parti demande la fin des sanctions contre les grévistes.
L'appel au dialogue
Le GPS recommande "au gouvernement d'établir un dialogue social sincère et inclusif avec tous les partenaires sociaux". Le parti s'oppose aux mesures de rétorsion, jugeant que "les menaces judiciaires et sanctions pécuniaires" ne résoudront pas la crise.
La formation politique exige "le reversement des salaires suspendus ou ponctionnés aux enseignants pour fait de grève". Cette demande s'inscrit dans une approche globale visant à apaiser les tensions sociales dans l'administration publique.
Le GPS plaide pour "une solution globale et durable aux préoccupations posées dont celle majeure de la prime pour tous". Cette position intervient alors que le gouvernement fait face à une multiplication des mouvements sociaux.
La formation politique exige "le reversement des salaires suspendus ou ponctionnés aux enseignants pour fait de grève". Cette demande s'inscrit dans une approche globale visant à apaiser les tensions sociales dans l'administration publique.
Le GPS plaide pour "une solution globale et durable aux préoccupations posées dont celle majeure de la prime pour tous". Cette position intervient alors que le gouvernement fait face à une multiplication des mouvements sociaux.