Maurice Kakou Guikahué entretient des échanges réguliers avec Tidjane Thiam. "Nous avons discuté de la situation du parti, à l'initiative du président Thiam avec qui j'échange régulièrement des messages", confie-t-il à Jeune Afrique.
Le vice-président du PDCI précise la nature de leurs discussions. "La tradition au PDCI, c'est que le président du parti soit son candidat naturel. Cependant, même si le congrès a demandé à Tidjane Thiam de nous amener au pouvoir, on passera obligatoirement par la case convention", explique-t-il.
Cette position s'inscrit dans une vision plus large du fonctionnement du parti. "Les présidents de partis politiques ne devraient pas être candidats à l'élection présidentielle", affirme Guikahué.
Le vice-président du PDCI précise la nature de leurs discussions. "La tradition au PDCI, c'est que le président du parti soit son candidat naturel. Cependant, même si le congrès a demandé à Tidjane Thiam de nous amener au pouvoir, on passera obligatoirement par la case convention", explique-t-il.
Cette position s'inscrit dans une vision plus large du fonctionnement du parti. "Les présidents de partis politiques ne devraient pas être candidats à l'élection présidentielle", affirme Guikahué.
L'avenir du parti
La rencontre du 6 novembre marque une étape dans la reconstruction du PDCI. "Ma candidature a été rejetée au motif que j'étais sous contrôle judiciaire. Nous n'avons pas fait de vagues et avons accepté de nous retirer pour préserver l'unité du parti", rappelle l'ancien bras droit de Bédié.
Le député de Gagnoa maintient son engagement local tout en restant actif au niveau national. Son influence se confirme lors du meeting de Soubré en juin dernier, où sa présence aux côtés de Thiam suscite une ovation populaire.
Le député de Gagnoa maintient son engagement local tout en restant actif au niveau national. Son influence se confirme lors du meeting de Soubré en juin dernier, où sa présence aux côtés de Thiam suscite une ovation populaire.