Les logements sociaux en Côte d'Ivoire s'articulent autour de deux catégories de prix. « Concernant les coûts, ce sont 12,5 millions de FCFA pour le logement dit social et 23 millions de FCFA pour le logement dit économique », précise le ministre Bruno Nabagné Koné lors d'une session GouvTalk le 18 décembre 2024.
Pour les ménages aux revenus modestes, un Programme d'urgence de 25 000 logements propose des solutions en location simple et location-vente. Ce dispositif cible spécifiquement les personnes dont le revenu mensuel est inférieur à 400 000 FCFA.
Pour les ménages aux revenus modestes, un Programme d'urgence de 25 000 logements propose des solutions en location simple et location-vente. Ce dispositif cible spécifiquement les personnes dont le revenu mensuel est inférieur à 400 000 FCFA.
Une offre nationale diversifiée
Le programme de construction-vente, qui compte déjà 37 000 unités réalisées sur 150 000 prévues, déploie une stratégie territoriale équilibrée. La répartition prévoit 1000 logements à Bouaké, 1000 à Yamoussoukro, 500 à Korhogo, 500 à San Pedro, complétés par des projets dans d'autres villes.
Ces développements s'accompagnent de réformes administratives, notamment l'Attestation de Droit d'Usage coutumier et l'Identifiant unique des parcelles, sécurisant les transactions immobilières sur l'ensemble du territoire.
Le ministère assure une gestion rigoureuse des souscriptions. Sur 8000 demandes de remboursement enregistrées depuis 2018, seuls 700 à 800 dossiers restent à traiter, témoignant d'une gestion efficace des anciennes souscriptions.
« L'État a fait de gros efforts en termes de financement pour faciliter l'accès aux propriétés foncières », souligne le ministre, rappelant l'objectif d'améliorer l'accès à un logement décent et abordable tant à Abidjan qu'à l'intérieur du pays.
Ces développements s'accompagnent de réformes administratives, notamment l'Attestation de Droit d'Usage coutumier et l'Identifiant unique des parcelles, sécurisant les transactions immobilières sur l'ensemble du territoire.
Le ministère assure une gestion rigoureuse des souscriptions. Sur 8000 demandes de remboursement enregistrées depuis 2018, seuls 700 à 800 dossiers restent à traiter, témoignant d'une gestion efficace des anciennes souscriptions.
« L'État a fait de gros efforts en termes de financement pour faciliter l'accès aux propriétés foncières », souligne le ministre, rappelant l'objectif d'améliorer l'accès à un logement décent et abordable tant à Abidjan qu'à l'intérieur du pays.