Le territoire du quartier Micao à Yopougon fait l'objet d'un nouveau différend foncier. La communauté Attié d'Andokoi défend ses droits sur 70 hectares face aux revendications du village de Kouté.
L'urbanisation d'Abidjan modifie la configuration des terres ancestrales. La construction de la zone industrielle de Yopougon entraîne une redéfinition des espaces. Le lotissement du quartier Micao s'inscrit dans cette transformation urbaine.
L'urbanisation d'Abidjan modifie la configuration des terres ancestrales. La construction de la zone industrielle de Yopougon entraîne une redéfinition des espaces. Le lotissement du quartier Micao s'inscrit dans cette transformation urbaine.
Les accords historiques
L'accord de 1999 organise la répartition des terres entre communautés. Le texte attribue des droits de lotissement à Andokoi. Le village de Niangon-Adjamé obtient une compensation en parcelles, calculée sur la base de 600 m² par hectare.
Les mouvements de population marquent l'histoire du territoire. Les Ébrié choisissent les zones côtières pour la pêche. Les Attié s'établissent sur les terres intérieures. Cette répartition géographique influence encore les relations intercommunautaires.
Les autorités d'Andokoi invitent à consulter les documents historiques pour comprendre la situation. Les archives retracent l'évolution des droits fonciers dans la zone. La communauté maintient sa position face aux nouvelles contestations, malgré les décisions de justice rendues.
Les mouvements de population marquent l'histoire du territoire. Les Ébrié choisissent les zones côtières pour la pêche. Les Attié s'établissent sur les terres intérieures. Cette répartition géographique influence encore les relations intercommunautaires.
Les autorités d'Andokoi invitent à consulter les documents historiques pour comprendre la situation. Les archives retracent l'évolution des droits fonciers dans la zone. La communauté maintient sa position face aux nouvelles contestations, malgré les décisions de justice rendues.