Le Nouveau Réveil est suspendu pour trois parutions. Réuni en conseil extraordinaire le 25 novembre 2024, l'Autorité nationale de la presse a examiné une chronique parue dans la rubrique "ET VLAN !" le 20 novembre. Le texte, signé Eddy Péhé, s'intitule "Nous sommes saints, à qui est donc tout ce vin ?".
L'ANP relève des "manquements graves" dans l'article incriminé. Le communiqué de l'instance de régulation pointe notamment trois infractions majeures : l'incitation à la haine, la calomnie et la manipulation de l'information. Ces éléments contreviennent directement aux dispositions de l'article 31 de la loi sur la presse, qui encadre la liberté de collecte et de diffusion de l'information.
L'ANP relève des "manquements graves" dans l'article incriminé. Le communiqué de l'instance de régulation pointe notamment trois infractions majeures : l'incitation à la haine, la calomnie et la manipulation de l'information. Ces éléments contreviennent directement aux dispositions de l'article 31 de la loi sur la presse, qui encadre la liberté de collecte et de diffusion de l'information.
Des règles déontologiques strictes
Le Code de déontologie fixe un cadre précis pour l'exercice du journalisme. Les articles 2, 14, 17 et 19 imposent aux professionnels des médias plusieurs obligations fondamentales : la vérification rigoureuse des informations, l'interdiction de toute manipulation et l'impossibilité de publier des accusations sans preuve.
La sanction prend effet le 2 décembre 2024. Les Éditions Le Réveil, société éditrice du quotidien, doivent se conformer à cette décision de suspension temporaire. Par cette mesure, l'ANP réaffirme sa mission de "garantir un journalisme éthique et responsable" dans le paysage médiatique ivoirien.
La sanction prend effet le 2 décembre 2024. Les Éditions Le Réveil, société éditrice du quotidien, doivent se conformer à cette décision de suspension temporaire. Par cette mesure, l'ANP réaffirme sa mission de "garantir un journalisme éthique et responsable" dans le paysage médiatique ivoirien.
