L'Intelligence artificielle réunit les régulateurs africains à Abidjan. Le Réseau des Instances africaines de Régulation de la Communication (RIARC) organise du 28 au 30 novembre 2024 sa 11ème Conférence des Instances de Régulation de la Communication d'Afrique (CIRCAF). L'événement rassemble 26 pays sur les 37 membres du réseau. Le ministre ivoirien de la Communication, Amadou Coulibaly, a ouvert les travaux en présence des délégations du continent. La conférence se concentre sur l'encadrement de l'IA dans le secteur audiovisuel.
Les régulateurs africains identifient les zones à risque. Le ministre Coulibaly expose les dangers de l'IA dans la production de contenus médiatiques : fausses informations, manipulation d'images, création d'interviews fictives. Ces pratiques représentent une menace pour la stabilité sociale. Les périodes électorales constituent des moments particulièrement sensibles où la désinformation peut provoquer des troubles. Les instances de régulation travaillent sur des propositions d'encadrement qui respectent la liberté d'expression.
Les régulateurs africains identifient les zones à risque. Le ministre Coulibaly expose les dangers de l'IA dans la production de contenus médiatiques : fausses informations, manipulation d'images, création d'interviews fictives. Ces pratiques représentent une menace pour la stabilité sociale. Les périodes électorales constituent des moments particulièrement sensibles où la désinformation peut provoquer des troubles. Les instances de régulation travaillent sur des propositions d'encadrement qui respectent la liberté d'expression.
Une réponse continentale coordonnée
René Bourgouin, président de la Haute Autorité de la Communication audiovisuelle (HACA), dresse un état des lieux de l'utilisation de l'IA. La technologie intervient dans la création de scénarios, la production d'images et de sons, les effets spéciaux et la post-production. Cette présence généralisée nécessite une réponse coordonnée à l'échelle du continent. Les régulateurs développent des outils de détection et de contrôle des contenus manipulés.
La conférence marque un tournant dans la coopération régionale. Le changement de présidence du RIARC, avec la succession de René Bourgouin à Latifa Akharbach, ouvre une nouvelle phase. Les participants élaborent des normes communes pour l'utilisation de l'IA dans l'audiovisuel. Ils mettent en place des mécanismes de partage d'information entre pays membres.
Les travaux se poursuivent jusqu'au 30 novembre. Les délégations préparent des recommandations pour leurs gouvernements respectifs. L'objectif consiste à harmoniser les pratiques de régulation sur le continent. Les conclusions de la conférence serviront de base pour l'élaboration de politiques nationales adaptées aux enjeux de l'IA dans l'audiovisuel africain.
La CIRCAF pose les fondations d'une régulation moderne. Les pays membres s'engagent à renforcer leur coopération face aux défis technologiques. Le réseau prévoit des mécanismes de suivi pour assurer l'application des décisions prises. Cette approche commune renforce la capacité de l'Afrique à protéger son espace audiovisuel tout en bénéficiant des avancées technologiques.
La conférence marque un tournant dans la coopération régionale. Le changement de présidence du RIARC, avec la succession de René Bourgouin à Latifa Akharbach, ouvre une nouvelle phase. Les participants élaborent des normes communes pour l'utilisation de l'IA dans l'audiovisuel. Ils mettent en place des mécanismes de partage d'information entre pays membres.
Les travaux se poursuivent jusqu'au 30 novembre. Les délégations préparent des recommandations pour leurs gouvernements respectifs. L'objectif consiste à harmoniser les pratiques de régulation sur le continent. Les conclusions de la conférence serviront de base pour l'élaboration de politiques nationales adaptées aux enjeux de l'IA dans l'audiovisuel africain.
La CIRCAF pose les fondations d'une régulation moderne. Les pays membres s'engagent à renforcer leur coopération face aux défis technologiques. Le réseau prévoit des mécanismes de suivi pour assurer l'application des décisions prises. Cette approche commune renforce la capacité de l'Afrique à protéger son espace audiovisuel tout en bénéficiant des avancées technologiques.