Le congrès du PDCI est au cœur des préoccupations de Jean-Louis Billon. Le candidat déclaré à la présidentielle d'octobre 2025 a pointé du doigt l'absence d'un tel rassemblement depuis une décennie, à l'occasion de la 18e réunion du Bureau politique tenue le 5 avril 2025 à Yamoussoukro, à laquelle il a choisi de ne pas participer.
Cette situation constitue selon lui une violation des statuts du parti qui fragilise sa démocratie interne, alors même que le PDCI doit désigner prochainement son candidat officiel pour l'élection présidentielle à venir.
Cette situation constitue selon lui une violation des statuts du parti qui fragilise sa démocratie interne, alors même que le PDCI doit désigner prochainement son candidat officiel pour l'élection présidentielle à venir.
Une absence de congrès depuis dix ans
Dans un message vidéo diffusé le jour de la réunion du Bureau politique, Jean-Louis Billon a mis en lumière ce qu'il considère comme une anomalie majeure dans le fonctionnement du parti. « Notre parti n'a pas tenu de congrès depuis plus de 10 ans. C'est une entorse grave dans notre statut, et notre démocratie interne », a-t-il déclaré.
Pour l'ancien ministre, cette situation constitue un obstacle à la construction d'une dynamique victorieuse pour la présidentielle. « C'est un danger, car nous ne pouvons pas construire la victoire sur la peur et les raccourcis, nous avons besoin de vérité et de respecter les règles », a-t-il ajouté.
Jean-Louis Billon a clairement exprimé sa position concernant l'ordre des événements à venir. « La convention que nous attendons doit être précédée d'un congrès légitime pour que chacun se sente entendu et représenté », a-t-il affirmé.
Cette demande intervient alors que le Bureau politique du 5 avril, présidé par le secrétaire exécutif en chef Sylvestre Emmou en l'absence du président Tidjane Thiam, devait notamment fixer la date de la Convention qui désignera le candidat du PDCI pour la présidentielle d'octobre 2025.
Pour l'ancien ministre, cette situation constitue un obstacle à la construction d'une dynamique victorieuse pour la présidentielle. « C'est un danger, car nous ne pouvons pas construire la victoire sur la peur et les raccourcis, nous avons besoin de vérité et de respecter les règles », a-t-il ajouté.
Jean-Louis Billon a clairement exprimé sa position concernant l'ordre des événements à venir. « La convention que nous attendons doit être précédée d'un congrès légitime pour que chacun se sente entendu et représenté », a-t-il affirmé.
Cette demande intervient alors que le Bureau politique du 5 avril, présidé par le secrétaire exécutif en chef Sylvestre Emmou en l'absence du président Tidjane Thiam, devait notamment fixer la date de la Convention qui désignera le candidat du PDCI pour la présidentielle d'octobre 2025.
Des conditions de dialogue remises en question
Le candidat a également justifié sa non-participation à la réunion du Bureau politique par l'absence de conditions favorables à un échange constructif. « Il y a un fait symbolique fort, le président du parti, M. Tidjane Thiam, lui-même n'est pas présent à ce Bureau politique, je respecte son choix, mais cette absence confirme que nous ne sommes pas dans des conditions d'un dialogue vrai, apaisé et loyal », a-t-il souligné.
Jean-Louis Billon a par ailleurs déploré l'atmosphère tendue qui règne actuellement au sein du parti. « Je constate avec regret que l'ambiance autour de ce bureau politique est devenue délétère, avec des appels à l'intimidation, des attaques personnelles, des tensions qui n'ont rien à avoir avec l'esprit du dialogue et du rassemblement », a-t-il déclaré.
Le candidat a défendu une vision inclusive du fonctionnement du parti, centrée sur la participation des militants. « L'avenir du PDCI ne se construira pas sans la base », a-t-il affirmé pour justifier sa décision de ne pas se rendre physiquement à la réunion du Bureau politique.
Cette position reflète sa conception de la démocratie interne, qui doit selon lui permettre « que chacun se sente entendu et représenté ». Un principe qu'il considère comme essentiel pour rassembler le parti avant l'échéance électorale cruciale d'octobre 2025.
Malgré ses critiques sur le fonctionnement actuel du PDCI, Jean-Louis Billon a tenu à réaffirmer son engagement envers cette formation politique. « Je ne suis pas l'ennemi de mon parti, je ne suis pas l'adversaire de qui que ce soit, je suis le fils d'un parti que j'aime profondément et pour lequel je me battrai toujours avec dignité », a-t-il déclaré.
Par cette prise de position, le candidat entend se placer dans une démarche constructive visant à renforcer le parti, avec pour objectif final « la victoire en 2025 ». Une victoire qui, selon lui, ne pourra être obtenue qu'en respectant les règles statutaires et en restaurant une véritable démocratie interne au sein du PDCI.
Jean-Louis Billon a par ailleurs déploré l'atmosphère tendue qui règne actuellement au sein du parti. « Je constate avec regret que l'ambiance autour de ce bureau politique est devenue délétère, avec des appels à l'intimidation, des attaques personnelles, des tensions qui n'ont rien à avoir avec l'esprit du dialogue et du rassemblement », a-t-il déclaré.
Le candidat a défendu une vision inclusive du fonctionnement du parti, centrée sur la participation des militants. « L'avenir du PDCI ne se construira pas sans la base », a-t-il affirmé pour justifier sa décision de ne pas se rendre physiquement à la réunion du Bureau politique.
Cette position reflète sa conception de la démocratie interne, qui doit selon lui permettre « que chacun se sente entendu et représenté ». Un principe qu'il considère comme essentiel pour rassembler le parti avant l'échéance électorale cruciale d'octobre 2025.
Malgré ses critiques sur le fonctionnement actuel du PDCI, Jean-Louis Billon a tenu à réaffirmer son engagement envers cette formation politique. « Je ne suis pas l'ennemi de mon parti, je ne suis pas l'adversaire de qui que ce soit, je suis le fils d'un parti que j'aime profondément et pour lequel je me battrai toujours avec dignité », a-t-il déclaré.
Par cette prise de position, le candidat entend se placer dans une démarche constructive visant à renforcer le parti, avec pour objectif final « la victoire en 2025 ». Une victoire qui, selon lui, ne pourra être obtenue qu'en respectant les règles statutaires et en restaurant une véritable démocratie interne au sein du PDCI.