Le Centre Hospitalier Régional d'Abobo a connu une interruption électrique le jeudi 6 février 2025 de 17h à 19h30. "Le groupe électrogène du Centre Hospitalier Régional d'Abobo n'a pas pu assurer la relève", indique le communiqué du Ministère de la Santé.
Les équipes techniques ont rapidement identifié l'origine de la défaillance. "Un dispositif d'autonomie permet aux équipements de continuer la prise en charge des malades et parer au plus urgent", précise le ministère, soulignant la réactivité du personnel.
Les équipes techniques ont rapidement identifié l'origine de la défaillance. "Un dispositif d'autonomie permet aux équipements de continuer la prise en charge des malades et parer au plus urgent", précise le ministère, soulignant la réactivité du personnel.
Gestion de la situation
Les services hospitaliers ont maintenu leurs activités pendant l'incident. Le personnel soignant a poursuivi ses missions, assurant la prise en charge des patients sans interruption des soins essentiels.
Un groupe électrogène temporaire renforce désormais l'établissement. "Depuis hier vendredi 07 février 2025, un groupe électrogène de dépannage a été installé", confirme le ministère, dans l'attente de la réparation de l'équipement principal.
Un groupe électrogène temporaire renforce désormais l'établissement. "Depuis hier vendredi 07 février 2025, un groupe électrogène de dépannage a été installé", confirme le ministère, dans l'attente de la réparation de l'équipement principal.
Réponse des autorités
Le ministre Pierre Dimba salue l'engagement des équipes. "Le personnel de santé du CHR d'Abobo a fait preuve de responsabilité durant cette période", déclare-t-il, confirmant qu'aucune perte humaine n'est à déplorer.
Le gouvernement renforce la sécurité électrique des hôpitaux. "Toutes les dispositions sont prises par le gouvernement pour assurer la continuité du service de santé publique", assure le ministre de la Santé.
Le gouvernement renforce la sécurité électrique des hôpitaux. "Toutes les dispositions sont prises par le gouvernement pour assurer la continuité du service de santé publique", assure le ministre de la Santé.