La transformation du modèle agricole ivoirien s'impose comme une nécessité nationale selon Simone Gbagbo. Face à Philippe Di Nacera sur 7info, la présidente du Mouvement des Générations Capables (MGC) détaille sa vision d'une agriculture réorientée vers les besoins intérieurs.
La question alimentaire occupe une place centrale dans son programme. "Notre pays possède un potentiel agricole exceptionnel, mais nous importons encore trop de denrées alimentaires", constate l'ancienne Première dame, appelant à un changement de paradigme.
La question alimentaire occupe une place centrale dans son programme. "Notre pays possède un potentiel agricole exceptionnel, mais nous importons encore trop de denrées alimentaires", constate l'ancienne Première dame, appelant à un changement de paradigme.
Réorientation de la production
Le rééquilibrage entre cultures d'exportation et vivrières constitue une priorité. "Nous ne pouvons pas continuer à privilégier uniquement les cultures destinées à l'exportation", affirme Simone Gbagbo, plaidant pour un soutien accru aux producteurs de denrées alimentaires locales.
La diversification des cultures s'inscrit dans cette stratégie. "Notre agriculture doit répondre aux besoins nutritionnels de notre population", explique-t-elle, évoquant un plan de développement des filières céréalières et maraîchères.
La modernisation des techniques agricoles occupe une place importante dans son programme. "Nos agriculteurs doivent avoir accès aux innovations technologiques adaptées à notre contexte", indique la candidate, proposant la création de centres de formation agricole dans chaque région.
L'accès au financement représente un autre défi à relever. "Une banque agricole nationale sera créée pour soutenir les projets de modernisation", annonce-t-elle, précisant les modalités d'accompagnement des exploitants.
La diversification des cultures s'inscrit dans cette stratégie. "Notre agriculture doit répondre aux besoins nutritionnels de notre population", explique-t-elle, évoquant un plan de développement des filières céréalières et maraîchères.
La modernisation des techniques agricoles occupe une place importante dans son programme. "Nos agriculteurs doivent avoir accès aux innovations technologiques adaptées à notre contexte", indique la candidate, proposant la création de centres de formation agricole dans chaque région.
L'accès au financement représente un autre défi à relever. "Une banque agricole nationale sera créée pour soutenir les projets de modernisation", annonce-t-elle, précisant les modalités d'accompagnement des exploitants.
Transformation locale
La transformation des produits agricoles sur place constitue un axe stratégique. "Nous devons créer de la valeur ajoutée sur notre territoire", souligne Simone Gbagbo, détaillant son projet de zones de transformation agro-industrielle.
Le développement des infrastructures de stockage fait partie des priorités. "Des centres de conditionnement seront construits dans les principales zones de production", précise-t-elle, visant à réduire les pertes post-récolte.
L'organisation des circuits de distribution retient également son attention. "Les marchés locaux doivent être structurés pour faciliter l'écoulement des produits", explique la présidente du MGC, proposant la création d'une plateforme numérique de mise en relation.
La régulation des importations fait partie de sa stratégie. "Nous mettrons en place des mécanismes de protection de notre production locale", affirme-t-elle, tout en respectant les engagements internationaux du pays.
Le développement des infrastructures de stockage fait partie des priorités. "Des centres de conditionnement seront construits dans les principales zones de production", précise-t-elle, visant à réduire les pertes post-récolte.
L'organisation des circuits de distribution retient également son attention. "Les marchés locaux doivent être structurés pour faciliter l'écoulement des produits", explique la présidente du MGC, proposant la création d'une plateforme numérique de mise en relation.
La régulation des importations fait partie de sa stratégie. "Nous mettrons en place des mécanismes de protection de notre production locale", affirme-t-elle, tout en respectant les engagements internationaux du pays.