"Pour l'homme politique que je suis, ce serait l'accomplissement", affirme Ahoua Don Mello sur le plateau de Sans Réserve. Face aux questions sur ses ambitions présidentielles, l'ancien ministre livre une réponse sans détour.
Sa relation avec Laurent Gbagbo remonte à 1984, quand ils se sont rencontrés à Paris "en plein parti unique, dans la clandestinité." Une rencontre qui a façonné sa vision politique.
Sa relation avec Laurent Gbagbo remonte à 1984, quand ils se sont rencontrés à Paris "en plein parti unique, dans la clandestinité." Une rencontre qui a façonné sa vision politique.
Une succession dans la continuité
"Laurent Gbagbo, en 40 ans, a créé plusieurs Laurent Gbagbo", explique Don Mello. "Quand on parle de Laurent Gbagbo, ce n'est pas sa personne, c'est son idéologie", précise-t-il, évoquant une transmission idéologique à travers plusieurs générations.
Sur les rumeurs d'ambitions personnelles, il reste mesuré : "Si je dois entreprendre des initiatives, il y a des congrès, il y a des conventions, il y a des appels à candidature." Une approche qui privilégie les procédures démocratiques internes.
"Nous sommes à un carrefour de l'histoire de la Côte d'Ivoire", déclare Don Mello. Il appelle à "accélérer le processus des changements pour une plus grande souveraineté des peuples africains."
"Si Laurent Gbagbo me met en mission, j'assumerai pleinement cette mission", conclut-il, tout en soulignant que "le plus important, c'est de ne pas tuer l'idéal."
Sur les rumeurs d'ambitions personnelles, il reste mesuré : "Si je dois entreprendre des initiatives, il y a des congrès, il y a des conventions, il y a des appels à candidature." Une approche qui privilégie les procédures démocratiques internes.
"Nous sommes à un carrefour de l'histoire de la Côte d'Ivoire", déclare Don Mello. Il appelle à "accélérer le processus des changements pour une plus grande souveraineté des peuples africains."
"Si Laurent Gbagbo me met en mission, j'assumerai pleinement cette mission", conclut-il, tout en soulignant que "le plus important, c'est de ne pas tuer l'idéal."