Le bilan du RHDP fait l'objet d'une présentation détaillée par Adjoumani Kouassi Kobenan, porte-parole principal du parti. Face à la presse, il détaille les transformations économiques et sociales de la Côte d'Ivoire depuis 2011, chiffres à l'appui.
« Les faits sont là et ils parlent d'eux-mêmes », affirme M. Adjoumani, soulignant que « la comparaison des bilans suffira pour éclairer les Ivoiriens dans leur choix » lors de la présidentielle d'octobre 2025.
« Les faits sont là et ils parlent d'eux-mêmes », affirme M. Adjoumani, soulignant que « la comparaison des bilans suffira pour éclairer les Ivoiriens dans leur choix » lors de la présidentielle d'octobre 2025.
Les indicateurs économiques
Le PIB ivoirien illustre cette transformation économique. En douze ans, il est passé de 12 869 milliards FCFA en 2011 à 47 790 milliards FCFA en 2023. Le budget de l'État connaît une évolution similaire, multiplié par cinq pour atteindre 15 000 milliards FCFA fin 2024.
La croissance économique reste solide avec 6,1% en 2024, malgré un contexte international complexe. « Ces performances traduisent une gestion saine et des réformes audacieuses », note le porte-parole du RHDP.
La croissance économique reste solide avec 6,1% en 2024, malgré un contexte international complexe. « Ces performances traduisent une gestion saine et des réformes audacieuses », note le porte-parole du RHDP.
Les avancées sociales
Dans le domaine des infrastructures, les progrès sont tangibles. Le taux d'électrification atteint 94% contre 33% en 2011. Le programme "Eau pour tous" améliore l'accès à l'eau potable, notamment en zone rurale.
L'éducation et la santé marquent également des avancées. Le nombre d'établissements scolaires publics passe de 294 à 902, avec 15 nouveaux lycées féminins prévus en 2025. Pour la santé, 80% des Ivoiriens vivent désormais à moins de 5 km d'un centre médical.
L'éducation et la santé marquent également des avancées. Le nombre d'établissements scolaires publics passe de 294 à 902, avec 15 nouveaux lycées féminins prévus en 2025. Pour la santé, 80% des Ivoiriens vivent désormais à moins de 5 km d'un centre médical.