Le discours de fin d'année 2024 de Guillaume Soro, président de Générations et Peuples Solidaires (GPS), aborde plusieurs aspects de l'actualité nationale et internationale. Le leader politique en exil dresse un bilan critique de la situation en Côte d'Ivoire et formule des propositions pour l'avenir.
Sur le plan national, Soro pointe du doigt la gouvernance actuelle. "L'année 2024 a été, plus que les années précédentes, marquée par des drames sociaux induits par la politique inhumaine des déguerpissements", déclare-t-il, citant le rapport d'Amnesty International.
Sur le plan national, Soro pointe du doigt la gouvernance actuelle. "L'année 2024 a été, plus que les années précédentes, marquée par des drames sociaux induits par la politique inhumaine des déguerpissements", déclare-t-il, citant le rapport d'Amnesty International.
Perspectives électorales pour 2025
Le leader de GPS met l'accent sur les échéances électorales de 2025. "L'année 2025 sera une année décisive et exceptionnelle à tous les niveaux, mais singulièrement au niveau électoral", souligne-t-il. Il appelle à une réforme de la Commission Électorale Indépendante pour "éviter à la Côte d'Ivoire une nouvelle crise électorale".
Appel à l'unité de l'opposition
Guillaume Soro lance un appel pressant aux forces d'opposition : "GPS lance un appel à tous les leaders de l'opposition. Il est temps de travailler ensemble à la constitution d'un 'bloc solidaire' pour créer les conditions d'obtention d'une élection présidentielle inclusive, libre et transparente en Côte d'Ivoire."
Pour conclure son discours, l'ancien Premier ministre exprime son espoir "en une Côte d'Ivoire sincèrement engagée sur le chemin de la paix et de la réconciliation, en un pays véritablement souverain, prospère, un État de droit digne de la grande civilisation africaine."
Pour conclure son discours, l'ancien Premier ministre exprime son espoir "en une Côte d'Ivoire sincèrement engagée sur le chemin de la paix et de la réconciliation, en un pays véritablement souverain, prospère, un État de droit digne de la grande civilisation africaine."