
Koré Guy Armand analyse le débat sur un potentiel 4e mandat présidentiel en Côte d'Ivoire © Crédit photo DR
La parabole de la calebasse, partagée par Guillaume Soro en 2019 à Ferkessédougou, trouve un écho particulier dans le débat politique actuel. Selon Koré Guy Armand, cadre du GPS, cette métaphore traditionnelle illustre les enjeux du pouvoir et de la sagesse politique.
"Lorsqu'un vieil homme monte sur une calebasse, deux résultats sont envisageables", rappelle l'auteur, citant les paroles de Guillaume Soro. Cette image traditionnelle soulève la question de la responsabilité et de la prudence dans l'exercice du pouvoir.
"Lorsqu'un vieil homme monte sur une calebasse, deux résultats sont envisageables", rappelle l'auteur, citant les paroles de Guillaume Soro. Cette image traditionnelle soulève la question de la responsabilité et de la prudence dans l'exercice du pouvoir.
Le contexte constitutionnel
La Constitution ivoirienne de 2016 établit un cadre précis pour l'exercice du pouvoir présidentiel. Koré Guy Armand analyse les implications juridiques et politiques d'une éventuelle candidature en 2025.
L'auteur souligne que "depuis son accession au pouvoir en 2010, Alassane Ouattara a été un acteur clé de la politique ivoirienne". Il examine les conséquences potentielles d'un quatrième mandat sur la stabilité politique du pays.
L'auteur souligne que "depuis son accession au pouvoir en 2010, Alassane Ouattara a été un acteur clé de la politique ivoirienne". Il examine les conséquences potentielles d'un quatrième mandat sur la stabilité politique du pays.
Les enjeux pour 2025
Le débat dépasse la simple question constitutionnelle. L'analyse de Koré Guy Armand met en perspective les attentes de la population et les défis du renouvellement politique.
La conclusion de l'auteur rappelle que "la question n'est pas seulement de savoir si Alassane Ouattara se présentera ou non, mais plutôt comment son choix sera perçu par une population qui aspire à une gouvernance nouvelle".
La conclusion de l'auteur rappelle que "la question n'est pas seulement de savoir si Alassane Ouattara se présentera ou non, mais plutôt comment son choix sera perçu par une population qui aspire à une gouvernance nouvelle".