La scène politique ivoirienne connaît un nouveau développement avec la création de la Coalition pour l'Alternance Pacifique (CAP). Selon Denis Kah Zion du Nouveau Réveil, cette plateforme regroupant 25 partis et mouvements politiques entend peser sur le processus électoral.
Le lancement de la CAP, le lundi 10 mars 2025, marque une étape dans la restructuration de l'opposition. Cette coalition affiche sa volonté d'obtenir les conditions d'une élection "apaisée, inclusive et transparente".
Le lancement de la CAP, le lundi 10 mars 2025, marque une étape dans la restructuration de l'opposition. Cette coalition affiche sa volonté d'obtenir les conditions d'une élection "apaisée, inclusive et transparente".
Revendications de la plateforme
La CAP articule ses exigences autour de quatre points essentiels. La coalition demande la révision de la liste électorale avant le scrutin présidentiel, l'équilibre et l'impartialité de la Commission Électorale Indépendante (CEI), l'audit du fichier électoral et la publication des résultats bureau de vote par bureau de vote.
Le président du PDCI-RDA, Tidjane Thiam, exprime la détermination de l'opposition : "Nous savons tous que nous jouons dans un match où l'arbitre a parfois marqué des buts. Malgré cela, il va nous falloir gagner et nous le pouvons, car nous avons les meilleurs joueurs".
La question d'une candidature unique reste en suspens. Soumaïla Bredoumy, porte-parole du PDCI, indique que "les modalités de participation seront débattues au sein de la plateforme".
La coalition dresse un bilan critique des quinze années de gouvernance RHDP, pointant notamment la dette publique, la paupérisation des masses et les défis de la réconciliation nationale.
Le président du PDCI-RDA, Tidjane Thiam, exprime la détermination de l'opposition : "Nous savons tous que nous jouons dans un match où l'arbitre a parfois marqué des buts. Malgré cela, il va nous falloir gagner et nous le pouvons, car nous avons les meilleurs joueurs".
La question d'une candidature unique reste en suspens. Soumaïla Bredoumy, porte-parole du PDCI, indique que "les modalités de participation seront débattues au sein de la plateforme".
La coalition dresse un bilan critique des quinze années de gouvernance RHDP, pointant notamment la dette publique, la paupérisation des masses et les défis de la réconciliation nationale.