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Présidentielle 2025 : Le FPI réclame un dialogue politique inclusif préélectoral

Mardi 14 Janvier 2025

Le Front populaire ivoirien d'Affi N'Guessan appelle à un dialogue national avant la présidentielle 2025, citant les crises électorales de 2010 et 2020.


Le Front populaire ivoirien d'Affi N'Guessan appelle à un dialogue national avant la présidentielle 2025 © Crédit photo DR
Le Front populaire ivoirien d'Affi N'Guessan appelle à un dialogue national avant la présidentielle 2025 © Crédit photo DR
Le Front populaire ivoirien publie un communiqué appelant à l'organisation d'un dialogue politique national. Le parti d'opposition souligne les conséquences des précédentes élections sans concertation préalable.

Le FPI rappelle que « faute d'avoir réuni un dialogue inclusif pour se mettre d'accord sur les conditions de l'élection présidentielle, la Côte d'Ivoire a connu, en 2010 et 2020, les pires souffrances ».

Position de l'opposition

Le parti présidé par Affi N'Guessan constate que « l'ensemble des partis politiques de l'opposition demande avec insistance, la tenue de ce dialogue politique ». Il déplore que « le gouvernement fait la sourde oreille et fait mine de regarder ailleurs ».

Le FPI s'appuie sur les récentes déclarations diplomatiques. Le porte-parole des diplomates a souhaité que « l'année 2025 soit celle d'une élection apaisée, démocratique, inclusive et transparente ».

Réactions institutionnelles

Le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, invite les partis à soumettre leurs préoccupations aux institutions existantes. Cette position contraste avec les attentes de l'opposition.

Le président Alassane Ouattara, lors des vœux au corps diplomatique le 9 janvier 2025, s'est déclaré « désireux de continuer de servir » le pays. Le FPI considère cette déclaration inappropriée dans un contexte protocolaire.

Le FPI interroge : « Le parti au pouvoir se soucie-t-il donc si peu de la sérénité des Ivoiriens ? ». Le parti appelle à éviter « la sinistre répétition » des crises postélectorales.

La question de la candidature présidentielle, selon l'opposition, ne devrait pas interférer avec les échanges protocolaires entre institutions.

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