Ouattara présente sa vision économique pour 2025 et réaffirme le soutien de l'État au secteur privé ivoirien © Crédit photo DR
Les vœux présidentiels 2025 placent le secteur privé au centre des priorités économiques. Le 14 janvier à Abidjan, lors de la cérémonie d'échanges avec le monde académique et les entreprises, Alassane Ouattara a présenté les axes de développement économique.
"L'État continuera d'être à vos côtés, à l'écoute de vos préoccupations et va accompagner vos efforts", a déclaré le Président de la République devant les acteurs économiques réunis.
"L'État continuera d'être à vos côtés, à l'écoute de vos préoccupations et va accompagner vos efforts", a déclaré le Président de la République devant les acteurs économiques réunis.
Progression des PME
La participation des PME aux marchés publics illustre cette dynamique. Leur part est passée de 19% en 2018 à 45% en 2023. Le taux d'investissement privé a également progressé, atteignant 19% du PIB en 2024, contre 8% en 2011.
Le Plan national de développement (PND) s'articule autour du développement du secteur privé. Les réformes structurelles et le renforcement du cadre juridique ont contribué à faire de la Côte d'Ivoire "une terre d'opportunités pour les investisseurs".
La vision économique pour 2025 repose sur trois piliers : l'inclusion, la durabilité et la stabilité macroéconomique. Le gouvernement priorise également la bonne gouvernance et la lutte contre le blanchiment des capitaux.
Faman Touré, président de la Chambre de commerce et d'industrie, a salué "les performances économiques" et "l'instauration d'un dialogue constructif" entre secteurs public et privé.
Le Plan national de développement (PND) s'articule autour du développement du secteur privé. Les réformes structurelles et le renforcement du cadre juridique ont contribué à faire de la Côte d'Ivoire "une terre d'opportunités pour les investisseurs".
La vision économique pour 2025 repose sur trois piliers : l'inclusion, la durabilité et la stabilité macroéconomique. Le gouvernement priorise également la bonne gouvernance et la lutte contre le blanchiment des capitaux.
Faman Touré, président de la Chambre de commerce et d'industrie, a salué "les performances économiques" et "l'instauration d'un dialogue constructif" entre secteurs public et privé.