La présidentielle d'octobre 2025 soulève des questions fondamentales. "L'audit de la liste électorale" et sa révision en avril 2025 constituent des étapes déterminantes, selon Zarour.
Le militant PDCI-RDA insiste sur le rôle des institutions : "Une Commission Électorale Indépendante crédible et un Conseil Constitutionnel impartial sont les seuls garants d'une élection transparente".
Le militant PDCI-RDA insiste sur le rôle des institutions : "Une Commission Électorale Indépendante crédible et un Conseil Constitutionnel impartial sont les seuls garants d'une élection transparente".
Les défis économiques
"Le véritable enjeu réside dans la transformation économique et sociale du pays", affirme Zarour. Il cite notamment "une industrie nationale qui se tient debout" et "une agriculture qui nourrit d'abord ses enfants".
Le texte souligne l'urgence de "relancer l'emploi et lutter contre le chômage massif des jeunes". Zarour pointe "l'angoisse de la jeunesse ivoirienne" face au "chômage massif, l'éducation inadaptée, l'absence de perspectives".
Le texte souligne l'urgence de "relancer l'emploi et lutter contre le chômage massif des jeunes". Zarour pointe "l'angoisse de la jeunesse ivoirienne" face au "chômage massif, l'éducation inadaptée, l'absence de perspectives".
La question sociale
"Il ne peut y avoir de paix durable sans une redistribution équitable des richesses", analyse Zarour. Il évoque la nécessité d'un "filet de protection sociale digne de ce nom".
Le militant détaille les attentes : "logements abordables, couverture maladie universelle, salaires décents". Il souligne l'importance d'une "justice sociale qui corrige les déséquilibres".
Zarour note que Thiam "ne vient pas de la politique politicienne". Il souligne son "expérience internationale" et son "approche basée sur l'efficacité".
"L'histoire suit son cours", conclut Zarour, évoquant "une Côte d'Ivoire qui refuse de rester prisonnière du passé".
Le militant détaille les attentes : "logements abordables, couverture maladie universelle, salaires décents". Il souligne l'importance d'une "justice sociale qui corrige les déséquilibres".
Zarour note que Thiam "ne vient pas de la politique politicienne". Il souligne son "expérience internationale" et son "approche basée sur l'efficacité".
"L'histoire suit son cours", conclut Zarour, évoquant "une Côte d'Ivoire qui refuse de rester prisonnière du passé".