Indemnités en Côte d'Ivoire : les inspecteurs pédagogiques envisage de durcir le ton © Crédit photo DR
Le manque de moyens des inspecteurs pédagogiques en Côte d'Ivoire compromet la qualité de l'enseignement. Cette réalité s'est imposée lors de la 4ème Rentrée académique des inspecteurs pédagogiques à Divo.
Les difficultés de déplacement limitent les visites dans les établissements. Les enseignants reçoivent moins de supervision et d'accompagnement, ce qui ralentit l'application des nouvelles méthodes pédagogiques. Plus de 500 inspecteurs du préscolaire, primaire et secondaire sont concernés par cette situation.
Les difficultés de déplacement limitent les visites dans les établissements. Les enseignants reçoivent moins de supervision et d'accompagnement, ce qui ralentit l'application des nouvelles méthodes pédagogiques. Plus de 500 inspecteurs du préscolaire, primaire et secondaire sont concernés par cette situation.
Des réformes pédagogiques ralenties
Les enseignants non encadrés conservent des méthodes anciennes, faute de formation continue. Le représentant de la DRENA de Divo, Groguhé Yves, rappelle le rôle des inspecteurs dans la transmission des réformes pédagogiques jusqu'aux zones les plus reculées.
Les participants à la RAIPCI 2024 demandent l'attribution d'indemnités de fonction. Cette mesure permettrait de faciliter les déplacements et d'assurer un meilleur suivi des enseignants. Les autorités invitent les inspecteurs à maintenir un dialogue constructif pour résoudre ces difficultés.
Les participants à la RAIPCI 2024 demandent l'attribution d'indemnités de fonction. Cette mesure permettrait de faciliter les déplacements et d'assurer un meilleur suivi des enseignants. Les autorités invitent les inspecteurs à maintenir un dialogue constructif pour résoudre ces difficultés.