La ministre de l'Éducation nationale renforce le contrôle des projets © Crédit photo DR
L'atelier bilan 2024 des plans de travail annuels budgétisés révèle des dysfonctionnements. Le 16 décembre à Yamoussoukro, la ministre Mariatou Koné dresse un constat sans complaisance de la gestion des projets éducatifs.
Trois années d'observation ont permis d'identifier les failles du système. La ministre pointe particulièrement le manque de transparence dans la gestion des financements et l'absence de suivi rigoureux.
Le ministère fait face à des pratiques préjudiciables. "Certaines directions ne rendent pas compte ni de l'existence des projets logés en leur sein, ni des sources de financement", révèle la ministre.
La situation devient préoccupante lorsque "ce sont les partenaires qui dévoilent ces financements". Cette opacité dans la gestion des ressources nécessite des mesures correctives immédiates.
Trois années d'observation ont permis d'identifier les failles du système. La ministre pointe particulièrement le manque de transparence dans la gestion des financements et l'absence de suivi rigoureux.
Le ministère fait face à des pratiques préjudiciables. "Certaines directions ne rendent pas compte ni de l'existence des projets logés en leur sein, ni des sources de financement", révèle la ministre.
La situation devient préoccupante lorsque "ce sont les partenaires qui dévoilent ces financements". Cette opacité dans la gestion des ressources nécessite des mesures correctives immédiates.
Une nouvelle approche de gestion
La ministre instaure un cadre de gestion plus rigoureux. "J'insiste une fois de plus sur la culture de la redevabilité, la culture de la planification", déclare-t-elle, établissant ainsi les nouvelles règles.
Le suivi-évaluation devient systématique. "On planifie, on programme, et on adopte la culture du suivi-évaluation", précise Mariatou Koné, qui souhaite mettre fin aux pratiques approximatives dans la gestion des projets.
Le suivi-évaluation devient systématique. "On planifie, on programme, et on adopte la culture du suivi-évaluation", précise Mariatou Koné, qui souhaite mettre fin aux pratiques approximatives dans la gestion des projets.
