![Le tribunal rendra son verdict le 12 février 2025 dans l'affaire de l'attaque du camp d'Abobo © Crédit photo DR Le tribunal rendra son verdict le 12 février 2025 dans l'affaire de l'attaque du camp d'Abobo © Crédit photo DR](https://www.yessouan.ci/photo/art/default/86237241-61374131.jpg?v=1738792759)
Le tribunal rendra son verdict le 12 février 2025 dans l'affaire de l'attaque du camp d'Abobo © Crédit photo DR
Le tribunal a mis son verdict en délibéré au 12 février 2025. Cette décision intervient après le réquisitoire du procureur qui a requis 20 ans de prison ferme contre Damana Pickass et les autres accusés.
L'affaire concerne l'attaque du 2e Bataillon Projectable d'Abobo, survenue dans la nuit du 20 au 21 avril 2021. Le ministère public demande également une amende de 10 millions de francs CFA pour chaque accusé.
L'affaire concerne l'attaque du 2e Bataillon Projectable d'Abobo, survenue dans la nuit du 20 au 21 avril 2021. Le ministère public demande également une amende de 10 millions de francs CFA pour chaque accusé.
Les réquisitions du parquet
Le procureur a détaillé les charges retenues contre les 33 accusés. L'attaque avait causé la mort de trois personnes et fait un blessé à la base militaire de N'Dotré.
Les investigations ont révélé une conspiration impliquant des combattants ivoiriens et libériens. Damana Pickass, secrétaire général du PPA-CI, et Ikpo Lagui ont été inculpés le 24 février 2023.
Les investigations ont révélé une conspiration impliquant des combattants ivoiriens et libériens. Damana Pickass, secrétaire général du PPA-CI, et Ikpo Lagui ont été inculpés le 24 février 2023.
L'attente du verdict
Le tribunal examine les éléments du dossier avant de rendre sa décision. L'attaque avait eu lieu vers 1h du matin, quand des individus armés ont ouvert le feu sur les postes de garde.
Cette affaire s'inscrit dans un contexte sécuritaire particulier. Trois semaines avant ces événements, deux incidents avaient déjà visé les forces de sécurité ivoiriennes.
Cette affaire s'inscrit dans un contexte sécuritaire particulier. Trois semaines avant ces événements, deux incidents avaient déjà visé les forces de sécurité ivoiriennes.