Fou de jalousie, il menace de diffuser des photos intimes de sa campagne et finit devant la justice © Crédit photo DR
La Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC) vient d'interpeller un individu identifié comme EFG pour menace de diffusion de photos intimes. L'affaire débute par une relation amoureuse qui tourne au cauchemar pour la victime IJK.
Les faits se déroulent après une dispute où l'homme découvre des messages qu'il juge compromettants sur le téléphone de sa compagne. Il menace alors de diffuser des photos intimes prises à son insu.
Les faits se déroulent après une dispute où l'homme découvre des messages qu'il juge compromettants sur le téléphone de sa compagne. Il menace alors de diffuser des photos intimes prises à son insu.
L'enquête de la PLCC
La victime décide de porter plainte auprès de la PLCC, où elle reçoit un accompagnement technique et psychologique. Les investigations, menées en collaboration avec le Laboratoire de Criminalistique Numérique, aboutissent à l'interpellation du mis en cause.
Lors de son interrogatoire, EFG avoue avoir agi "sous l'emprise de la colère et de la jalousie". L'enquête révèle également son implication dans des activités de cyberescroquerie, notamment des arnaques par "love chat" ayant rapporté 800 000 FCFA.
Le dossier est transmis au Parquet pour "enregistrement illégal de données à caractère sexuel" et "menace de diffusion de contenu sexuel en ligne". Les poursuites s'appuient sur les articles 60 et 61 de la loi n° 2013-451 du 19 juin 2013 relative à la cybercriminalité.
Cette affaire illustre l'importance de la vigilance dans les relations numériques et rappelle l'existence de recours légaux face aux menaces en ligne.
Lors de son interrogatoire, EFG avoue avoir agi "sous l'emprise de la colère et de la jalousie". L'enquête révèle également son implication dans des activités de cyberescroquerie, notamment des arnaques par "love chat" ayant rapporté 800 000 FCFA.
Le dossier est transmis au Parquet pour "enregistrement illégal de données à caractère sexuel" et "menace de diffusion de contenu sexuel en ligne". Les poursuites s'appuient sur les articles 60 et 61 de la loi n° 2013-451 du 19 juin 2013 relative à la cybercriminalité.
Cette affaire illustre l'importance de la vigilance dans les relations numériques et rappelle l'existence de recours légaux face aux menaces en ligne.