L'éligibilité du président Alassane Ouattara pour 2025 repose sur des bases juridiques solides, selon le député Assalé Tiémoko. S'exprimant devant des compatriotes à Paris, le parlementaire a rappelé la décision du Conseil constitutionnel de 2020 comme référence juridique incontestable.
"Il a été candidat en 2020 et le conseil constitutionnel l'a déclaré éligible. Pour quelles curiosités juridiques ne pourrait-il pas se présenter en 2025 s'il le souhaite ?", a argumenté le député, écartant les questionnements sur la légalité d'une potentielle candidature.
"Il a été candidat en 2020 et le conseil constitutionnel l'a déclaré éligible. Pour quelles curiosités juridiques ne pourrait-il pas se présenter en 2025 s'il le souhaite ?", a argumenté le député, écartant les questionnements sur la légalité d'une potentielle candidature.
Un soutien politique affirmé
Le député souligne la convergence entre légalité constitutionnelle et volonté politique. "Son parti le veut comme candidat, les militants de son parti également", a-t-il affirmé, avant d'ajouter : "Qu'est-ce qu'on gagne à faire un tel débat ?"
Cette position s'inscrit dans une réflexion plus large sur la gouvernance politique. Assalé Tiémoko, lui-même éligible, a précisé : "Beaucoup de paramètres rentrent en jeu dans cette affaire et il faut les analyser froidement."
Le député a également évoqué l'ouverture politique manifestée par le président actuel. "Le président Ouattara a appelé des Ivoiriens plus jeunes que lui et ses prédécesseurs à se présenter en 2025", a-t-il rappelé, tout en nuançant : "Être président n'est pas une affaire de fantaisie, c'est une affaire de destin."
Concluant son intervention par une métaphore locale, Assalé Tiémoko a déclaré : "À Abidjan, on dit le poussin qui va devenir un beau coq, quand on le voit, on le reconnaît. Demain, n'est pas loin." Une façon imagée d'évoquer l'émergence naturelle des futures personnalités politiques.
Cette position s'inscrit dans une réflexion plus large sur la gouvernance politique. Assalé Tiémoko, lui-même éligible, a précisé : "Beaucoup de paramètres rentrent en jeu dans cette affaire et il faut les analyser froidement."
Le député a également évoqué l'ouverture politique manifestée par le président actuel. "Le président Ouattara a appelé des Ivoiriens plus jeunes que lui et ses prédécesseurs à se présenter en 2025", a-t-il rappelé, tout en nuançant : "Être président n'est pas une affaire de fantaisie, c'est une affaire de destin."
Concluant son intervention par une métaphore locale, Assalé Tiémoko a déclaré : "À Abidjan, on dit le poussin qui va devenir un beau coq, quand on le voit, on le reconnaît. Demain, n'est pas loin." Une façon imagée d'évoquer l'émergence naturelle des futures personnalités politiques.