La filière Coco ivoirienne entre dans une nouvelle phase de développement. Le Conseil des ministres du 12 février 2025 a adopté une ordonnance étendant la régulation des filières Hévéa et Palmier à Huile au secteur de la noix de coco.
Cette réforme s'inscrit dans la politique gouvernementale de gestion efficiente des finances publiques. L'objectif vise à repositionner la Côte d'Ivoire parmi les principaux pays producteurs et transformateurs de noix de coco.
Cette réforme s'inscrit dans la politique gouvernementale de gestion efficiente des finances publiques. L'objectif vise à repositionner la Côte d'Ivoire parmi les principaux pays producteurs et transformateurs de noix de coco.
Cadre réglementaire
Le ministre de la Communication, Amadou Coulibaly, précise que "cette ordonnance étend le champ d'application de la loi n° 2017-540 du 03 août 2017 aux activités de la filière Coco". Cette approche évite la création d'une nouvelle structure administrative.
Le texte confie au Conseil Hévéa-Palmier à Huile les missions de régulation, développement, contrôle et suivi des activités de la filière Coco. Cette intégration optimise l'utilisation des ressources administratives existantes.
Le texte confie au Conseil Hévéa-Palmier à Huile les missions de régulation, développement, contrôle et suivi des activités de la filière Coco. Cette intégration optimise l'utilisation des ressources administratives existantes.
Organisation institutionnelle
La réforme modifie la composition du Conseil d'Administration pour intégrer les représentants de l'interprofession de la filière Coco. Cette recomposition assure une représentation équilibrée des différents acteurs du secteur.
Le dispositif s'appuie sur l'expérience acquise dans la gestion des filières Hévéa et Palmier à Huile. Cette mutualisation des compétences renforce l'efficacité de la régulation et du contrôle des activités agricoles concernées.
Le dispositif s'appuie sur l'expérience acquise dans la gestion des filières Hévéa et Palmier à Huile. Cette mutualisation des compétences renforce l'efficacité de la régulation et du contrôle des activités agricoles concernées.