Venance Konan interroge la légitimité du retour de Tidjane Thiam à la tête du PDCI © Crédit photo DR
La légitimité politique de Tidjane Thiam est questionnée par Venance Konan. Le journaliste ivoirien pointe l'absence du nouveau président du PDCI pendant les moments critiques de l'histoire nationale.
"Certains, comme Guikahué, ont goûté de la prison en 2020", rappelle l'auteur, soulignant l'engagement des cadres historiques du parti pendant les périodes difficiles.
Le journaliste compare l'implication des différents acteurs : "Ils ont vécu les malheurs et bonheurs de ce pays pendant ces vingt ans. Ils ont participé à sa marche, en y travaillant, en y investissant."
La tribune présente le contraste avec l'absence de Thiam : "En 2002, le pays fut coupé en deux par une rébellion. Pendant huit ans il y eut des morts, des atrocités [...] Aucune compassion de la part de Tithi."
"Certains, comme Guikahué, ont goûté de la prison en 2020", rappelle l'auteur, soulignant l'engagement des cadres historiques du parti pendant les périodes difficiles.
Le journaliste compare l'implication des différents acteurs : "Ils ont vécu les malheurs et bonheurs de ce pays pendant ces vingt ans. Ils ont participé à sa marche, en y travaillant, en y investissant."
La tribune présente le contraste avec l'absence de Thiam : "En 2002, le pays fut coupé en deux par une rébellion. Pendant huit ans il y eut des morts, des atrocités [...] Aucune compassion de la part de Tithi."
Questions sur le timing
Venance Konan s'interroge sur les motivations du retour : "Le fait que le décès de M. Bédié lui a offert une opportunité de se hisser au plus haut sommet de son parti ?"
L'auteur évoque également le parcours international : "Le fait qu'il n'ait pas pu entrer dans le gouvernement de M. Macron ? Mission commandée ?"
La conclusion est sans appel : "Il devrait se faire humble, expliquer pourquoi il s'en était détourné, se faire pardonner, se mettre dans les rangs et attendre son heure."
Le journaliste insiste sur la nécessité de reconnaître l'engagement des militants : "Ils ont mouillé le maillot et souffert pour leur parti, pour empêcher qu'il ne sombre."
L'auteur évoque également le parcours international : "Le fait qu'il n'ait pas pu entrer dans le gouvernement de M. Macron ? Mission commandée ?"
La conclusion est sans appel : "Il devrait se faire humble, expliquer pourquoi il s'en était détourné, se faire pardonner, se mettre dans les rangs et attendre son heure."
Le journaliste insiste sur la nécessité de reconnaître l'engagement des militants : "Ils ont mouillé le maillot et souffert pour leur parti, pour empêcher qu'il ne sombre."