Tarifs électricité en Côte d'Ivoire © Crédit photo DR
Le journal Le Nouveau Réveil, dans son édition récente, analyse l'évolution des tarifs électriques en Côte d'Ivoire. Selon l'article, "la cherté de la vie sous le régime RHDP est due, en grande partie, à l'augmentation successive du coût de l'électricité."
Le journal détaille la chronologie des hausses : "La première augmentation a eu lieu en juillet 2023, 9,6%. Elle a concerné les industriels et donc par ricochet a été ressentie par l'ensemble des ménages."
Le journal détaille la chronologie des hausses : "La première augmentation a eu lieu en juillet 2023, 9,6%. Elle a concerné les industriels et donc par ricochet a été ressentie par l'ensemble des ménages."
Analyse des augmentations tarifaires
Le Nouveau Réveil souligne l'impact de ces hausses : "une seconde augmentation de 10% est intervenue le 1er janvier 2024. Celle-ci a été annoncée le 26 décembre en pleine fin d'année." L'article précise que cette décision a modifié "le prix moyen de vente de 79 FCFA/kWh à 87 FCFA/kWh."
Cette augmentation, selon le journal, "est arrivée comme une chape de plomb dans un contexte de dégerpissement tous azimuts." L'article met en perspective ces hausses dans le contexte économique actuel.
Cette augmentation, selon le journal, "est arrivée comme une chape de plomb dans un contexte de dégerpissement tous azimuts." L'article met en perspective ces hausses dans le contexte économique actuel.
Réactions sociales et manifestations
Le journal rapporte des mouvements de protestation : "le vendredi 13 septembre, 25 membres de la plate-forme citoyenne Agir pour le peuple (AGIP) ont été mis aux arrêts à Abidjan alors qu'ils marchaient pacifiquement."
Concernant les suites judiciaires, Le Nouveau Réveil précise que "seize d'entre eux ont été condamnés par le tribunal de Yopougon à six mois de prison ferme au motif de troubles à l'ordre public."
Concernant les suites judiciaires, Le Nouveau Réveil précise que "seize d'entre eux ont été condamnés par le tribunal de Yopougon à six mois de prison ferme au motif de troubles à l'ordre public."