Tanoh Abizi à propos de la candidature de Ouattara pour 2025
"Pour nous, c'est une candidature de trop", déclare Tanoh Abizi concernant une éventuelle candidature du président sortant. Le président du PIP rappelle la controverse constitutionnelle de 2020.
Le parti s'oppose à cette "forme de démocratie appliquée par le pouvoir en place". Tanoh Abizi évoque le bilan de 2020 : "Plus de quatre-vingt-cinq morts dont le jeune Toussaint qui a eu la tête tranchée sans que jusqu'à ce jour les tueurs soient arrêtés."
Le parti s'oppose à cette "forme de démocratie appliquée par le pouvoir en place". Tanoh Abizi évoque le bilan de 2020 : "Plus de quatre-vingt-cinq morts dont le jeune Toussaint qui a eu la tête tranchée sans que jusqu'à ce jour les tueurs soient arrêtés."
L'appel à l'inclusion
Le PIP demande au RHDP de proposer un autre candidat. "Nous demandons au RHDP de proposer un autre candidat issu de la demi-douzaine de cadres préparés par le Président Ouattara", précise Tanoh Abizi.
Le parti s'oppose aux exclusions de Laurent Gbagbo et Guillaume Soro. "Au nom de la paix, nous souhaitons qu'une loi d'amnistie soit votée afin de permettre à tout le monde de se présenter", propose le président du PIP.
Tanoh Abizi rappelle le précédent de 2010 et ses conséquences : "Pour une candidature rejetée, nous avons vécu l'enfer dans un pays rendu ingouvernable."
Le PIP insiste sur la nécessité d'une élection inclusive. "Cette élection présidentielle d'octobre 2025 ne doit exclure aucune fille ni aucun fils de la Côte d'Ivoire", conclut Tanoh Abizi.
Le parti s'oppose aux exclusions de Laurent Gbagbo et Guillaume Soro. "Au nom de la paix, nous souhaitons qu'une loi d'amnistie soit votée afin de permettre à tout le monde de se présenter", propose le président du PIP.
Tanoh Abizi rappelle le précédent de 2010 et ses conséquences : "Pour une candidature rejetée, nous avons vécu l'enfer dans un pays rendu ingouvernable."
Le PIP insiste sur la nécessité d'une élection inclusive. "Cette élection présidentielle d'octobre 2025 ne doit exclure aucune fille ni aucun fils de la Côte d'Ivoire", conclut Tanoh Abizi.