Sénégal : Le convoi du Premier ministre Sonko attaqué © Crédit photo DR
Le convoi du Premier ministre sénégalais subit une attaque à Koungueul. Des assaillants ont lancé des pierres sur les véhicules de la délégation d'Ousmane Sonko mercredi, selon son parti.
"L'intervention rapide des forces de l'ordre a permis de disperser les agresseurs", indique Vieux Aïdara, responsable de l'équipe de campagne du Premier ministre.
Les législatives sénégalaises génèrent des affrontements politiques. La dissolution du Parlement en septembre par le président Bassirou Diomaye Faye marque le début d'une nouvelle séquence électorale.
Le scrutin du 17 novembre détermine la composition de l'Assemblée nationale. Le parti Pastef cherche à obtenir une majorité pour mettre en œuvre ses réformes.
"L'intervention rapide des forces de l'ordre a permis de disperser les agresseurs", indique Vieux Aïdara, responsable de l'équipe de campagne du Premier ministre.
Les législatives sénégalaises génèrent des affrontements politiques. La dissolution du Parlement en septembre par le président Bassirou Diomaye Faye marque le début d'une nouvelle séquence électorale.
Le scrutin du 17 novembre détermine la composition de l'Assemblée nationale. Le parti Pastef cherche à obtenir une majorité pour mettre en œuvre ses réformes.
Violence politique
Les incidents se multiplient depuis l'ouverture de la campagne. Le siège d'un parti d'opposition à Dakar subit une attaque lundi.
Des inconnus vandalisent les locaux et les véhicules. Un incendie se déclenche dans les bureaux du parti.
Le nouveau président veut transformer les institutions. L'ancien Parlement, dominé par l'opposition, bloquait ses projets de réforme.
Le Premier ministre Ousmane Sonko dirige la liste du Pastef. Son parti promet une rupture avec le système politique précédent.
La société civile surveille le processus électoral. Les organisations appellent les acteurs politiques à la retenue.
Les observateurs craignent une escalade des tensions. La campagne se poursuit jusqu'au scrutin du 17 novembre.
Des inconnus vandalisent les locaux et les véhicules. Un incendie se déclenche dans les bureaux du parti.
Le nouveau président veut transformer les institutions. L'ancien Parlement, dominé par l'opposition, bloquait ses projets de réforme.
Le Premier ministre Ousmane Sonko dirige la liste du Pastef. Son parti promet une rupture avec le système politique précédent.
La société civile surveille le processus électoral. Les organisations appellent les acteurs politiques à la retenue.
Les observateurs craignent une escalade des tensions. La campagne se poursuit jusqu'au scrutin du 17 novembre.