Le prix du cacao est jugé insuffisant par le GPS malgré la hausse © Crédit photo DR
Le prix du cacao en Côte d'Ivoire connaît une hausse pour la campagne 2024-2025. Le gouvernement ivoirien a annoncé un prix d'achat de 1.800 FCFA par kilogramme, soit une augmentation de 20% par rapport à la campagne précédente. Cette décision s'inscrit dans un contexte de hausse des cours mondiaux du cacao, qui ont dépassé les 10.000 dollars la tonne sur les marchés internationaux.
Le mouvement Générations et Peuples Solidaires (GPS) de Guillaume Soro a réagi à cette annonce. GPS déclare : "Malgré ce contexte international favorable, GPS constate avec déception que la hausse du prix d'achat aux producteurs ivoiriens reste nettement en deçà des attentes." Le parti compare la situation ivoirienne à celle d'autres pays producteurs de cacao.
Le mouvement Générations et Peuples Solidaires (GPS) de Guillaume Soro a réagi à cette annonce. GPS déclare : "Malgré ce contexte international favorable, GPS constate avec déception que la hausse du prix d'achat aux producteurs ivoiriens reste nettement en deçà des attentes." Le parti compare la situation ivoirienne à celle d'autres pays producteurs de cacao.
Comparaison avec d'autres pays producteurs
GPS met en avant les différences de traitement entre les producteurs ivoiriens et ceux d'autres pays. Le mouvement souligne : "Alors que les producteurs ghanéens ont bénéficié d'une augmentation de 45% du prix de leur kilogramme de fèves, les paysans ivoiriens n'ont vu leur prix d'achat progresser que de 20%." GPS cite également l'exemple du Cameroun, où les prix ont atteint des niveaux records.
Le parti de Guillaume Soro estime que le gouvernement n'a pas respecté ses engagements. GPS affirme : "Le gouvernement n'a pas tenu sa promesse formulée lors de la réforme de 2012, qui était de garantir aux producteurs ivoiriens au moins 60% du prix CAF (Coût-Assurance-Fret)."
Le parti de Guillaume Soro estime que le gouvernement n'a pas respecté ses engagements. GPS affirme : "Le gouvernement n'a pas tenu sa promesse formulée lors de la réforme de 2012, qui était de garantir aux producteurs ivoiriens au moins 60% du prix CAF (Coût-Assurance-Fret)."
Propositions de GPS
GPS avance ses propres propositions pour une rémunération plus juste des producteurs. Le mouvement déclare : "Dans sa déclaration n°09, GPS avait estimé que pour que les paysans ivoiriens bénéficient pleinement de la conjoncture internationale actuelle, largement favorable aux producteurs, le prix juste aurait dû être fixé à 3.500 francs CFA par kilogramme."
Le parti souligne l'importance d'une meilleure rémunération pour le développement rural. GPS affirme : "Une rémunération plus juste et transparente des producteurs locaux de cacao aurait un impact immédiat sur l'amélioration des conditions de vie des paysans ivoiriens. Cela permettrait de réduire la pauvreté dans les zones rurales, où des millions de familles dépendent directement du cacao pour leur subsistance."
GPS conclut en appelant à une transformation du secteur cacaoyer ivoirien. Le mouvement déclare : "GPS est convaincu que le secteur cacaoyer peut devenir un véritable levier de transformation économique pour la Côte d'Ivoire. Cependant, cela ne sera possible que si les producteurs sont enfin rémunérés à la hauteur de leur contribution et que la transparence devient la règle dans la gestion de cette filière cruciale pour l'économie ivoirienne."
Le parti souligne l'importance d'une meilleure rémunération pour le développement rural. GPS affirme : "Une rémunération plus juste et transparente des producteurs locaux de cacao aurait un impact immédiat sur l'amélioration des conditions de vie des paysans ivoiriens. Cela permettrait de réduire la pauvreté dans les zones rurales, où des millions de familles dépendent directement du cacao pour leur subsistance."
GPS conclut en appelant à une transformation du secteur cacaoyer ivoirien. Le mouvement déclare : "GPS est convaincu que le secteur cacaoyer peut devenir un véritable levier de transformation économique pour la Côte d'Ivoire. Cependant, cela ne sera possible que si les producteurs sont enfin rémunérés à la hauteur de leur contribution et que la transparence devient la règle dans la gestion de cette filière cruciale pour l'économie ivoirienne."