Billon évoque la candidature du RHDP pour 2025 et l'incertitude autour de Ouattara © Crédit photo DR
De toutes les façons, le RHDP aura un candidat". Dans son entretien à France 24 ce 26 décembre, Jean-Louis Billon aborde frontalement la question de la candidature du parti au pouvoir pour la présidentielle de 2025.
L'ancien ministre du Commerce évoque l'incertitude autour d'une potentielle candidature du président sortant : "Il n'a pas encore lui-même dit qu'il serait candidat. On entend des membres de son parti annoncer sa candidature."
L'ancien ministre du Commerce évoque l'incertitude autour d'une potentielle candidature du président sortant : "Il n'a pas encore lui-même dit qu'il serait candidat. On entend des membres de son parti annoncer sa candidature."
Analyse de la situation
Billon adopte une position pragmatique : "On doit s'apprêter à affronter le candidat du RHDP, quel qu'il soit." Il souligne ainsi la nécessité pour l'opposition de se préparer, indépendamment de l'identité du candidat au pouvoir.
"Tant que lui-même n'a pas dit 'je suis candidat', nous sommes dans l'attente", précise-t-il concernant Alassane Ouattara, tout en maintenant que "ce qui est certain, c'est que le RHDP aura un candidat."
Face à cette situation, Billon défend une préparation anticipée : "Il ne faut pas attendre de connaître le candidat du RHDP pour nous organiser." Une position qui contraste avec celle de certains membres de l'opposition.
"Que ce soit Alassane Ouattara ou un autre", insiste-t-il, l'opposition doit se structurer et présenter une alternative crédible pour 2025, indépendamment du choix final du parti au pouvoir.
"Tant que lui-même n'a pas dit 'je suis candidat', nous sommes dans l'attente", précise-t-il concernant Alassane Ouattara, tout en maintenant que "ce qui est certain, c'est que le RHDP aura un candidat."
Face à cette situation, Billon défend une préparation anticipée : "Il ne faut pas attendre de connaître le candidat du RHDP pour nous organiser." Une position qui contraste avec celle de certains membres de l'opposition.
"Que ce soit Alassane Ouattara ou un autre", insiste-t-il, l'opposition doit se structurer et présenter une alternative crédible pour 2025, indépendamment du choix final du parti au pouvoir.