Denis Kah Zion dresse un réquisitoire sur les quinze années de gouvernance du RHDP en Côte d'Ivoire © Crédit photo DR
"Le RHDP, en quinze ans de règne sans partage, aura montré au monde entier sa face hideuse en matière de gouvernance", écrit Denis Kah Zion dans les colonnes du Nouveau Réveil (édition N°6819 du 11 mars 2025). L'éditorialiste livre une analyse critique de la gestion du pouvoir par le parti au pouvoir.
Dans son analyse, le journaliste met en lumière les conséquences d'une "politique hasardeuse mise en place et pratiquée sans sourciller par le pouvoir RHDP depuis quinze ans", soulignant les répercussions sur le développement du pays.
Dans son analyse, le journaliste met en lumière les conséquences d'une "politique hasardeuse mise en place et pratiquée sans sourciller par le pouvoir RHDP depuis quinze ans", soulignant les répercussions sur le développement du pays.
Une gouvernance critiquée
L'éditorialiste du Nouveau Réveil pointe plusieurs dysfonctionnements majeurs. "Une dette exponentielle qui expose dangereusement les générations futures, une paupérisation sans précédente des masses laborieuses, la corruption à tous les niveaux de la chaîne étatique", énumère Denis Kah Zion dans son éditorial.
Le journaliste dénonce également ce qu'il qualifie de "lutte contre les pauvres en lieu et place de la lutte contre la pauvreté". Il met en cause la gestion du système éducatif, évoquant "l'école en déclin avec son corollaire de la perdition de la jeunesse qui croupit sous les coups conjugués de la malformation, du chômage, de la délinquance."
Dans son analyse, Denis Kah Zion aborde la question environnementale, citant "la destruction de l'environnement à un rythme effréné par l'orpaillage clandestin protégé par des mains obscures puissantes". Il pointe également du doigt "les scandales financiers dénoncés ou passés sous silence avec des enquêtes qui n'aboutissent jamais."
L'éditorialiste conclut son analyse en évoquant "l'échec de la réconciliation nationale" et "l'impunité garantie pour un clan et la traque garantie pour un camp". Selon lui, ces "15 ans de règne dont les séquelles affligeront le peuple ivoirien dans des décennies" justifient la nécessité d'une alternance politique.
Le journaliste dénonce également ce qu'il qualifie de "lutte contre les pauvres en lieu et place de la lutte contre la pauvreté". Il met en cause la gestion du système éducatif, évoquant "l'école en déclin avec son corollaire de la perdition de la jeunesse qui croupit sous les coups conjugués de la malformation, du chômage, de la délinquance."
Dans son analyse, Denis Kah Zion aborde la question environnementale, citant "la destruction de l'environnement à un rythme effréné par l'orpaillage clandestin protégé par des mains obscures puissantes". Il pointe également du doigt "les scandales financiers dénoncés ou passés sous silence avec des enquêtes qui n'aboutissent jamais."
L'éditorialiste conclut son analyse en évoquant "l'échec de la réconciliation nationale" et "l'impunité garantie pour un clan et la traque garantie pour un camp". Selon lui, ces "15 ans de règne dont les séquelles affligeront le peuple ivoirien dans des décennies" justifient la nécessité d'une alternance politique.
