Condamnation Damana Pickass, Koua Justin
Le Parti des Peuples Africains-Côte d'Ivoire (PPA-CI) a publié une déclaration officielle concernant la condamnation de trois de ses cadres. Damana Adia Pickass, Banouakou Koua Justin et Ikpo Lagui ont été condamnés le 12 février 2025 à dix ans d'emprisonnement ferme par la justice ivoirienne.
La déclaration, signée par le député Tchéidé Jean Gervais, Secrétaire Général et Porte-parole adjoint du PPA-CI, détaille les sanctions prononcées et expose la position du parti face à ces condamnations.
La déclaration, signée par le député Tchéidé Jean Gervais, Secrétaire Général et Porte-parole adjoint du PPA-CI, détaille les sanctions prononcées et expose la position du parti face à ces condamnations.
Les condamnations prononcées
Le document précise que les trois responsables politiques, respectivement "2ème Vice-président du Conseil stratégique et politique (CSP), Secrétaire général adjoint et membre du bureau de la fédération de Yopougon", ont écopé de peines complémentaires. Ces sanctions incluent "cinq ans de privation de droits civils et politiques" pour Damana Pickass et "cinq ans d'interdiction de paraître en certains lieux du territoire national" pour les trois personnalités.
Selon le communiqué, ces condamnations interviennent "au bout de différentes procédures judiciaires initiées depuis de nombreuses années" et reposent sur "des accusations génériques d'atteinte à la défense nationale, d'atteinte à la sûreté de l'État".
Selon le communiqué, ces condamnations interviennent "au bout de différentes procédures judiciaires initiées depuis de nombreuses années" et reposent sur "des accusations génériques d'atteinte à la défense nationale, d'atteinte à la sûreté de l'État".
La position du parti
Le PPA-CI qualifie ces procédures "d'instrumentalisation outrancière de la justice ivoirienne". Le parti établit un lien direct entre ces condamnations et le contexte politique, affirmant qu'elles n'ont "pour seul objectif que de tenter d'affaiblir le Président Laurent Gbagbo et son parti".
La formation politique "prend à témoin l'opinion publique nationale et internationale sur les graves menaces que fait peser le régime RHDP sur la paix". Elle appelle à "des discussions politiques responsables entre les acteurs concernés" pour garantir des "élections apaisées".
Face à cette situation, le PPA-CI affirme qu'il "ne se laissera point intimider" et "réaffirme son engagement et sa détermination". Le parti met en garde contre les risques de crise et appelle au dialogue politique en vue de la présidentielle d'octobre 2025.
La formation politique "prend à témoin l'opinion publique nationale et internationale sur les graves menaces que fait peser le régime RHDP sur la paix". Elle appelle à "des discussions politiques responsables entre les acteurs concernés" pour garantir des "élections apaisées".
Face à cette situation, le PPA-CI affirme qu'il "ne se laissera point intimider" et "réaffirme son engagement et sa détermination". Le parti met en garde contre les risques de crise et appelle au dialogue politique en vue de la présidentielle d'octobre 2025.