Clovisse Debeveren s'explique sur les biens du Gros Bedel © Crédit photo DR
Clovisse Debeveren, ancien gérant du Fourty, sort de son silence pour clarifier la situation concernant la succession de feu Le Gros Bedel. Face aux accusations de confiscation des biens, il expose sa version des faits sur le plateau de La 3.
La gestion post-décès du Fourty s'est organisée avec l'accord du grand frère du défunt, permettant une réouverture rapide pour soutenir financièrement la famille. En tant que gérant déclaré à la CNPS, Debeveren affirme avoir agi dans un cadre légal.
La gestion post-décès du Fourty s'est organisée avec l'accord du grand frère du défunt, permettant une réouverture rapide pour soutenir financièrement la famille. En tant que gérant déclaré à la CNPS, Debeveren affirme avoir agi dans un cadre légal.
Dons lors des obsèques
Les dons collectés lors des obsèques, s'élevant à 34 millions de francs CFA, ont fait l'objet d'une répartition précise. Après déduction des frais funéraires, 24 millions ont été distribués entre le fils, la mère du défunt, sa famille et la mère de son enfant.
Un rapport d'expertise révèle que la famille a perçu 73 millions de francs CFA entre juillet et décembre, incluant les recettes de la boîte de nuit. Cette gestion, assurée par le grand frère et la grande sœur du défunt, s'est effectuée sans système de traçabilité établi.
Le conflit s'est intensifié en décembre avec l'intervention d'un huissier congédiant Debeveren et le personnel. La situation a pris un nouveau tournant lorsque la mère de l'enfant de Bedel, en tant que tutrice légale de l'héritier, a sollicité le retour de Debeveren pour gérer l'établissement.
La dette bancaire de 59 millions contractée avant le décès de Bedel reste un enjeu majeur. Face à cette situation, la mère de l'enfant a finalement fait changer les serrures le 30 décembre, avec l'assistance d'un huissier et d'un capitaine de police, pour permettre la reprise des activités par l'ancienne équipe.
Un rapport d'expertise révèle que la famille a perçu 73 millions de francs CFA entre juillet et décembre, incluant les recettes de la boîte de nuit. Cette gestion, assurée par le grand frère et la grande sœur du défunt, s'est effectuée sans système de traçabilité établi.
Le conflit s'est intensifié en décembre avec l'intervention d'un huissier congédiant Debeveren et le personnel. La situation a pris un nouveau tournant lorsque la mère de l'enfant de Bedel, en tant que tutrice légale de l'héritier, a sollicité le retour de Debeveren pour gérer l'établissement.
La dette bancaire de 59 millions contractée avant le décès de Bedel reste un enjeu majeur. Face à cette situation, la mère de l'enfant a finalement fait changer les serrures le 30 décembre, avec l'assistance d'un huissier et d'un capitaine de police, pour permettre la reprise des activités par l'ancienne équipe.