Le ministre de la Construction détaille les actions à entreprendre avant la fin de l'attestation villageoise le 31 décembre 2024 © Crédit photo DR
L'attestation villageoise prend fin le 31 décembre 2024. Le ministère de la Construction appelle les détenteurs de ce document à entamer rapidement leurs démarches pour sécuriser leurs droits fonciers.
"Nous n'avons pas imposé un rythme, ni un niveau dans la conduite de ce processus", précise le ministre Bruno Nabagné Koné. L'essentiel est d'initier la procédure avant la date butoir.
"Nous n'avons pas imposé un rythme, ni un niveau dans la conduite de ce processus", précise le ministre Bruno Nabagné Koné. L'essentiel est d'initier la procédure avant la date butoir.
Actions prioritaires à entreprendre
Les détenteurs d'attestations villageoises doivent se présenter aux bureaux du ministère pour déposer leur demande d'Arrêté de Concession Définitive (ACD). Cette démarche permet d'officialiser leur situation avant la transition.
"Nous demandons seulement de déposer les dossiers", souligne le ministre. Cette action permettra aux services de recenser les demandes non traitées et d'informer rapidement les demandeurs sur la situation de leur parcelle.
Le ministère assure la mise en place de procédures spécifiques pour traiter les attestations villageoises après le 31 décembre. Toutefois, le ministre met en garde : "Ce sont ceux qui continueront à faire des transactions avec l'ancienne attestation qui risquent de perdre gros."
Les dossiers déposés avant la date limite bénéficieront d'un traitement prioritaire. Le ministère s'engage à informer officiellement les demandeurs en cas de rejet, leur permettant de se retourner contre le vendeur.
"Nous demandons seulement de déposer les dossiers", souligne le ministre. Cette action permettra aux services de recenser les demandes non traitées et d'informer rapidement les demandeurs sur la situation de leur parcelle.
Le ministère assure la mise en place de procédures spécifiques pour traiter les attestations villageoises après le 31 décembre. Toutefois, le ministre met en garde : "Ce sont ceux qui continueront à faire des transactions avec l'ancienne attestation qui risquent de perdre gros."
Les dossiers déposés avant la date limite bénéficieront d'un traitement prioritaire. Le ministère s'engage à informer officiellement les demandeurs en cas de rejet, leur permettant de se retourner contre le vendeur.