Arrestation FESCI et décès étudiant et Assalé © Crédit photo DR
La Côte d'Ivoire se trouve confrontée à une situation délicate dans le milieu universitaire après la découverte du corps sans vie d'un étudiant. Le député Assalé Tiémoko Antoine a exprimé ses inquiétudes quant à la gestion de cette crise par les autorités universitaires.
Le député insiste sur l'importance du respect des principes juridiques dans cette affaire. Il déclare : "Dans un État de droit, la responsabilité collective en matière pénale, n'existe pas." Cette affirmation souligne la nécessité d'une enquête approfondie pour identifier les responsabilités individuelles dans ce drame.
Assalé Tiémoko Antoine critique également la réaction des autorités universitaires. Il affirme : "Je m'interroge sur la légalité de certains actes qui sont posés depuis quelques jours dans la suite de ce drame, par certaines autorités." Le député suggère que ces actions révèlent des compromissions entre l'administration universitaire, le ministère de l'enseignement supérieur et certains acteurs impliqués dans des actes irréguliers.
Le député insiste sur l'importance du respect des principes juridiques dans cette affaire. Il déclare : "Dans un État de droit, la responsabilité collective en matière pénale, n'existe pas." Cette affirmation souligne la nécessité d'une enquête approfondie pour identifier les responsabilités individuelles dans ce drame.
Assalé Tiémoko Antoine critique également la réaction des autorités universitaires. Il affirme : "Je m'interroge sur la légalité de certains actes qui sont posés depuis quelques jours dans la suite de ce drame, par certaines autorités." Le député suggère que ces actions révèlent des compromissions entre l'administration universitaire, le ministère de l'enseignement supérieur et certains acteurs impliqués dans des actes irréguliers.
Appel à une gestion préventive
Le député reproche à l'administration universitaire son manque de proactivité. Il déclare : "L'administration universitaire n'a pas à attendre un drame pour se rappeler l'existence de la loi." Cette critique montre la nécessité d'une application constante et rigoureuse des règles au sein des établissements universitaires, plutôt qu'une réaction tardive face à un événement tragique.